Le forum I - TRANS - Transgenre et Transsexualité | Transidentité - Infos et Rencontres

<<allons au fond de l'inconnu pour trouver du nouveaux >>

https://soundcloud.com/franceinter/de-l ... baudelaire

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Je pressens tout ce qui m’entoure, mon âme d’enfant est une grande excitée.
Je crie ma liberté cueillie en cette vie flamboyante, j’en suis émerveillé.
des peurs.
J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre.

Ça ne fait pas longtemps que je me suis inscrit sur ce forum, mais je le trouve déjà super !
Voyance = arnaque

Se faire et se défaire : le genre à l’épreuve de l’art
Masculin/féminin, viril/docile, fort/fragile, guerrier/passive. Comment dépasser cette équation binaire qui imprègne l’imaginaire commun depuis la nuit des temps ? En prenant le « mal » à sa racine : l’image.

Si les alternatives de vie, les choix d’existence « hors norme » semblent particulièrement difficiles à mettre en œuvre dans la réalité sociale (en témoigne l’éprouvant combat pour la reconnaissance des droits des minorités trans et gay), l’art apparaît comme le territoire privilégié de la déconstruction et de la transgression du corps normé.

Depuis le XIX° siècle, du dandysme d’Oscar Wilde aux portraits de Man Ray, des corps déstructurés de Picasso aux autoportraits de Claude Cahun, des artistes femmes de l’Avant-garde telles que Olga Rozanova ou Hannah Höch à Nan Goldin, du Body art à l’art vidéo contemporain, de nombreux artistes ont fait de leur art le lieu d’une profonde remise en question politique et poétique des normes imposées au corps. Transformés en espace de fiction et de performance, les attributs du féminin et du masculin s’échangent, s’hybrident, se font et se défont, à travers des images, des représentations ou des actions dont nous pouvons parcourir quelques moments clés :
http://www.m2jc.fr/se-faire-et-se-defai ... e-de-lart/

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Je pressens tout ce qui m’entoure, mon âme d’enfant est une grande excitée.
Je crie ma liberté cueillie en cette vie flamboyante, j’en suis émerveillé.
des peurs.
J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre.

Pertti Kurikan Nimipälvät se distingue par un son punk hardcore, caractérisé par des riffs de guitare agressifs, un rythme rapide et des chants criés, en bref, une aversion avérée pour la musicalité. Les fans désignent ce groupe finlandais par ses inititiales PKN, plus faciles à prononcer pour ceux qui ne parlent pas couramment le finnois.



Tout a commencé à Helsinki en 2009 lorsque Pertti Kurikka, Kari Aalto, Sami Helle et Toni Välitalo se sont rencontrés dans un centre de soins pour adultes en situation de déficience intellectuelle. La moyenne d'âge est de 40 ans.



Tous atteints du Syndrome de Down, une affection apparentée à la trisomie 21, les musiciens de PKN souhaitent sensibiliser l’Europe et le web à leur pathologie. Les quatre musiciens refusent notamment de vivre dans une institution spécialisée.



Le groupe a fait l’objet d’un documentaire en 2013. Un film intitulé The Punk Syndrom. Les demi-finales finlandaises pour la sélection à l'Eurovision sont prévues les 7, 14 et 21 février. Le groupe ou l'artiste gagnant sera connu le 28 février.

http://www.vivrefm.com/infos/lire/2446/ ... eurovision

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des peurs.
J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre.

Je veux rien dire...Mais je mettrai pas cette musique à longueur de journée...il paraît que je ne suis pas nette.... alors je suis brouillée...

oui je sais que tu préfère johny

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Surtout ...Sans l'idée... le Johnny

aluuuuuuumer le feux.............;

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Moqueuse.... , C'est pas bien.... J'aime pas Johnny (sans idée...) par contre johnny winter, ...Rotten NA

je sais biens c’était pour rire

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NANANINANÈRE....

youtu.be/WGfohkNkzPE

viens pas me dire que je moque

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Tu l'a voulu... tu l'as eu....

«Ce n'est pas vulgaire, c'est de la vulve! Ce n'est pas créé pour faire sensation, c'est de l'art avec une conscience sociale». Sur le site internet de son oeuvreThe Great Wall of Vagina, l'artiste anglaise Jamie Mc Cartney semble déjà répondre à ses détracteurs. Pendant près de cinq ans, le sculpteur a convaincu 400 femmes de poser pour lui. Résultat: 400 vulves en plâtre, exposées à Brighton du 6 au 31 mai au Fringe Festival de Brighton, le plus grand festival annuel d'art en Angleterre.

Les 400 sculptures, représentant des femmes de 18 à 76 ans, ont été regroupées en dix panneaux, d'une longueur totale de plus de neuf mètres. Parmi les personnes représentées, «des filles et des mères, des jumelles, des transsexuels, des femmes qui allaient avoir un enfant, ou qui venaient d'en avoir un, et des femmes qui allaient avoir une opération de chirurgie esthétiques pour les lèvres », précise l'artiste sur son site.

Une présentation (en anglais) de The Great Wall of Vagina et des méthodes de travail de Jamie Mc Cartney


http://next.liberation.fr/arts/2011/05/ ... res_735295

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