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Sept marques d'implants mammaires pourraient être interdites en France
06h01, le 25 mars 2019
L'Agence nationale des produits de santé pourrait interdire "la mise sur le marché, la distribution, la publicité et l'utilisation" de sept marques d'implants, "susceptibles de constituer un danger" de survenue d'un type de cancer chez les femmes.

Sept marques d'implants mammaires, "susceptibles de constituer un danger rare mais grave" de survenue d'un type de cancer chez les femmes qui en portent, pourraient être interdites en France, selon un "projet de décision" de l'Agence nationale des produits de santé (ANSM) soumis aux fabricants. "Aucune décision n'a été prise à ce stade", a toutefois averti le gendarme sanitaire, qui doit rendre "prochainement" sa décision officielle sur le sujet.

Dans un courrier aux fabricants daté du 19 mars, la direction des dispositifs médicaux de l'ANSM prépare toutefois le terrain à une interdiction de sept marques. "Au vu des données scientifiques acquises, des données de vigilance nationales, des avis d'experts et recommandations nationales et internationales de professionnels de santé, il apparaît que les implants mammaires à enveloppe macro-texturée ainsi que les implants mammaires recouverts de polyuréthane présentent un risque de survenue de LAGC-AIM", le lymphome anaplasique à grandes cellules associé au port d'implants mammaires, selon ce courrier.

Aussi, l'ANSM a "l'intention d'interdire la mise sur le marché, la distribution, la publicité et l'utilisation" de sept marques d'implants aujourd'hui utilisées en France, conclut ce "projet de décision de police sanitaire".

Les prothèses Biocell déjà retirées du marché. Les implants mammaires en silicone sont classifiés en fonction de l'aspect de la pellicule qui les entoure entre lisses et texturés (microtexturés ou macrotexturés, selon le degré de rugosité). Les prothèses macrotexturées concernées sont celles de marque Biocell (du fabricant américain Allergan) - déjà retirées du marché en raison de la perte du marquage CE nécessaire à leur commercialisation -, LSA (laboratoire Sebbin), Polytext (Polytech) et Arion, ainsi que les implants Cristalline et Nagotex (groupe GC Aesthetics). Les implants à enveloppe polyuréthane sont ceux de la marque Microthane (Polytech), selon l'annexe du projet de décision de l'ANSM.

Une interdiction qui concernerait l'ensemble des implants dits "macro-texturés" ainsi que de ceux à enveloppe en polyuréthane, irait au-delà des recommandations du comité d'expertes réuni début février par l'ANSM. Ce comité se prononçait seulement pour l'interdiction des prothèses Biocell du fabricant américain Allergan, principal modèle mis en cause dans la survenue de LAGC.

500.000 femmes portent des implants en France. Depuis 2011, 56 cas de cette forme rare de cancer ont été recensés en France chez des femmes porteuses d'implants mammaires, texturés pour la quasi totalité. Trois en sont décédées. Une maladie qui demeure rare, 500.000 femmes portant des implants en France

Merci pour l info . J ai des Arion gamme A2X , j ai appeler ce matin mon chir pour des infos et OUFFFFFF ce n est pas sur tout les implants micro texturé, uniquement sur les implants d ancienne generation avec membrane polyurethane . Les gel cohésif ne sont pas concerné les licences de compatibilité avec le corp sont valide . Le soucis se pose sur les hydrogel et les ruptures de membranes

Merci pour l info

Mais j ai eu la trouille

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Longue vie et prospérité.

Est-ce en rapport avec l'affaire des prothèses PIP ?

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“Nous apprenons beaucoup sur une société et sa culture si nous observons la manière dont elle traite ses minorités, ses malades, ses pauvres ou même ses enfants, c'est-à-dire tous ceux qui sont exclus de toute forme de pouvoir.”
Russell Banks

3 décès pour 500000 femmes c'est ultra minime faut arrêter la parano c'était même pas du a ça si ça se trouve .

Non, c'est sans rapport avec les prothèses pip, le problème des prothèse pip, c'est que lorsqu'elles se rompaient, elles rependaient dans l'organisme un gel industriel et non pas un gel médical entrainant des réactions de l'organisme pouvant aller jusqu’à des cancers.

Ici, ce qui est incriminé, c'est la texture de la prothèse, les textures macro-texturée et les prothèses recouverte de polyuréthane provoquent un risque, mais un risque très faible de LAGC-AIM (voir plus haut dans l'article de Tiffany la définition du LAGC-AIM).
Au microscope électronique les prothèses recouverte de polyuréthane présentent l'aspect d'attache velcro ( effet de scratch). les prothèses macro-texturer présentent plus de relief que les autres prothèses, et ce sont ces relief et ces effet de scratch qui provoquent les très rares cas cancer (LAGC-AIM).
Je ne me souvient plus du nombre de cancer je crois que c'est de l'ordre 1/100000. Les prothèses lisses sont plus propice a générer des problème de coques ,1 à 2 cas sur 100 et peuvent nécessiter le retrait de la prothèse.
Les prothèses texturées ont été introduites pour palier aux problèmes de coque, moins la prothèse peut tourner sur elle-même , moins il y a de problème de coque.
Le dilemme c'est d'avoir a choisir entre les problèmes de coques et les LAGC-AIM.

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Contre l’agressivité, l'intimidation , les violences psychologiques, le harcèlement, les menaces et promouvons la tolérance
Sans tolérance il n'y a pas de vivre ensemble

Merci pour la réponse, Jeanne80.

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