Le forum I - TRANS - Transgenre et Transsexualité | Transidentité - Infos et Rencontres

Je remets le poste ici , je me suis trompé de poste .

Désolé

http://www.vsd.fr/contenu-editorial/l-a ... ne-athlete




Une perchiste allemande révèle sa transsexualité
Rédaction en ligne
jeudi 22 novembre 2007, 17:52
Double médaillée de bronze aux championnats d’Europe en saut à la perche, l’Allemande Yvonne Buschbaum vient de briser un tabou dans le sport en révélant qu’elle était transsexuelle et comptait suivre un traitement préparatoire à une éventuelle opération.


AFP


Double médaillée de bronze aux championnats d’Europe en saut à la perche, l’Allemande Yvonne Buschbaum vient de briser un tabou dans le sport en révélant qu’elle était transsexuelle et comptait suivre un traitement préparatoire à une éventuelle opération.

« Je me sens homme et je dois vivre ma vie dans le corps d’une femme », a courageusement reconnu la sportive de 27 ans, sur son site internet, tout en annonçant sa retraite sportive anticipée.

« Depuis de nombreuses années, j’ai le sentiment de ne pas vivre dans le bon corps », a ajouté la triple championne d’Allemagne (1999, 2000 et 2003). « J’ai conscience que la transsexualité est une question marginale dans notre société. Je ne veux pas être responsable du fait qu’elle le reste, et participer a fortiori à un jeu de dupes ».

Yvonne Buschbaum a donc précisé qu’elle allait entamer sous peu un traitement hormonal spécifique obligatoire avant toute intervention chirurgicale pour changer de sexe.

La jeune femme, dont la meilleure performance est un saut à 4,70 m en 2003, a également déposé une demande officielle pour prendre un prénom masculin.

Si elle choisit de se faire opérer, elle pourra également changer officiellement de sexe à l’état civil mais devra toute sa vie poursuivre un traitement hormonal spécifique.

« Parfait macho »

Le monde de l’athlétisme n’a pas été surpris : « Yvonne a toujours répondu à tous les clichés du parfait macho », a admis Christine Adams qui s’est entraînée pendant trois ans avec elle.

Sixième des jeux Olympiques de Sydney en 2000, la perchiste a vu sa carrière minée par les blessures. Avant les JO-2004, elle fut ainsi victime d’une rupture d’un tendon d’Achille et malgré de multiples opérations, elle n’avait jamais retrouvé son niveau.

Aujourd’hui, Yvonne Buschbaum explique ses blessures physiques par ses dérives intérieures. « Ces années de divergence entre l’être et le paraître ont laissé des traces et ont trouvé leur expression physique dans les blessures à répétition ».

« Une blessure chronique s’avère toujours le signe logique que l’âme ne va pas bien », selon la jeune femme.

Dans le monde du sport, certains ont immédiatement fait le lien avec l’Autrichienne Erika Schinegger, célèbre championne du monde de ski alpin devenue en 1967 Erik.

« Je ne suis pas dopée »

Mais beaucoup ont surtout applaudi la démarche courageuse et honnête de la jeune femme, quitte à s’aventurer dans des plaisanteries douteuses. « Il faut vraiment avoir des couilles pour prendre une telle décision. Je lui souhaite plein de bonnes choses », a finement commenté le perchiste allemand Tim Lobinger.

« Nous souhaitons qu’elle trouve une satisfaction personnelle avec cette décision », a pour sa part souligné le secrétaire général de la Fédération allemande d’athlétisme (DLV), Frank Hensel.

La jeune femme a également souhaité faire taire tout éventuel malentendu sur ses performances sportives. « Je ne suis pas dopée », a-t-elle insisté. L’Allemagne demeure en effet traumatisée par les conséquences dramatiques du dopage pratiqué de manière quasi-industrielle par la RDA.

L’exemple le plus frappant des pratiques du régime est-allemand reste l’ancienne championne d’Europe de lancer de poids Heidi Krieger, dopée des années durant aux anabolisants et qui est devenue, après une opération en 1996, un homme, Andreas Krieger.

(AFP)

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je me suis encore trompé de poste je crois , bon désolé Abi

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Je redonne par la même occasion le lien du site vert , pour les Infos pratiques concernant les FTM .

http://forum-trans-ftm.info/

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Andreas Krieger.


http://www.lunion.presse.fr/article/a-la-une/quand-andreas-krieger-sappelait-heidi-sur-les-podiums

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il faut dire qu'il est beau mec !

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Erik Schinegger,
Un parcours très spécial; Erik Schinegger, l'homme qui fut "championne" du monde de ski, témoigne

Quarante ans après avoir remporté en 1966 le titre de "championne" du monde de ski alpin alors qu'il était un homme, Erik Schinegger témoigne de son parcours de "sportive" puis d'homme dans un film documentaire qui sort aujourd'hui en Autriche.
Né avec les testicules dans le bas-ventre, baptisé Erika et élevé comme une fille, Erik Schinegger avait fait sensation aux Championnats du monde de Portillo (Chili) en s'imposant à 18 ans, dans la descente, devant la médaillée olympique française Marielle Goitschel.
"La" jeune prodige du ski autrichien n'avait découvert son véritable sexe qu'en 1967, lors de tests systématiques introduits avant les Jeux olympiques de Grenoble. "La Fédération autrichienne de ski (OeSV) m'avait alors fortement incité à subir un traitement hormonal pour devenir une vraie femme. Elle voulait que, jusqu'à la fin de mes jours, je reste Erika, la championne auréolée de gloire", a-t-il déclaré, hier, dans une entrevue à l'AFP.
"Heureusement, mes succès en ski m'avaient permis de me construire une personnalité suffisamment forte pour décider, seul contre tous, de me faire opérer pour devenir vraiment l'homme que j'étais", a-t-il ajouté.
Fin brutale
Devenu Erik Schinegger en 1968, le jeune homme s'est marié une première fois en 1975 et est devenu père d'une fille en 1978. La carrière sportive de ce robuste et jovial quinquagénaire, qui par la suite avait rejoint l'équipe nationale masculine, s'est brutalement achevée en 1972, date à laquelle il a été écarté malgré plusieurs victoires en coupe d'Europe.
"L'OeSV, qui ne m'avait pas pardonné mon choix, avait estimé qu'il y avait trop de tapage médiatique autour de moi. Ils m'ont laissé tomber comme une vieille chaussette après m'avoir utilisé", estime Schinegger.
Selon Marielle Goitschel, l'une de ses proches amies, "l'OeSV porte une lourde responsabilité en n'ayant jamais émis de doutes sur le sexe d'Erika Schinegger, dont la carrure et la démarche détonnaient pourtant parmi les filles".
"Les médecins sportifs de la Fédération comptaient parmi les meilleurs au monde mais l'équipe d'Autriche était très faible à l'époque... Nous la surnommions Antoine (nom d'un chanteur français célèbre à l'époque) à cause de sa coupe de cheveux et de sa démarche. Il m'a rendu la médaille d'or qui me revenait en 1966, mais le changement n'a jamais été entériné par la Fédération internationale de ski", relève-t-elle.
Supermacho
Issu d'une modeste famille paysanne de Carinthie, Erik Schinegger n'avait pas douté de son sexe jusqu'à ce qu'on conduise le test de 1967, malgré l'absence de règles et de seins. "Je cro-yais être une fille, je pensais que j'étais lesbienne, confie-t-il.
"J'ai eu beaucoup de chance. Sans le ski, sans cette victoire en Championnat du monde (qui a débouché sur le test), ma vie aurait été un désastre. J'aurais vécu encore longtemps dans la même peau de fille. Après l'opération, je n'étais plus personne, mais j'avais pris ma vie en main."
Un long métrage documentaire du réalisateur autrichien Kurt Mayer sortant aujourd'hui en Autriche avant d'être présenté en marge de la Berlinale en février, Erik(A), montre en alternant images d'archives et témoignages la métamorphose de la skieuse-paysanne en "supermacho" avide de rattraper le temps perdu.
Schinegger, qui s'est remarié en 1999, a créé dans son village de Sankt-Urban l'une des plus importantes écoles de ski d'Autriche.

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BOYS DON'T CRY



http://www.youtube.com/watch?v=aOarssJWHhI

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Remembering Brandon Teena- Chasing Cars

http://www.youtube.com/watch?v=iNziFp9x ... re=related


Etats-Unis: Jugement dans l'affaire Brandon Teena
Par Judith Silberfeld lundi 13 décembre 1999, à 00h00 | 686 vues
Plus de:
En début de semaine, le Comté de Richardson, dans le Nebraska, a été reconnu coupable de négligence dans l'affaire du meurtre de Brandon Teena il y a six ans. Le 31 décembre 1993, Brandon Teena, 21 ans, né Teena Brandon, était assassiné par deux hommes qu'il avait accusés de viol quelques jours auparavant. La mère de Brandon, JoAnn Brandon, avait porté plainte contre le Shérif et contre le comté, estimant que la police n'avait pas pris le viol au sérieux, laissant les violeurs en liberté et à même d'assassiner Brandon. Le tribunal n'a ordonné que $17,360 (environ 113.000 francs) de dommages-intérêts. Le verdict ne satisfait ni la mère, qui a l'intention de faire appel, ni la communauté homo qui considère qu'en ordonnant des dommages-intérêts si faibles, le juge n'accordait que peu de valeur à la vie d'un transsexuel. L'histoire de Brandon Teena est racontée dans deux films diffusés la semaine dernière dans le cadre du Festival de films gays et lesbiens (au Forum des images, à Paris): " Boys don't cry ", de Kimberly Peirce et qui devrait sortir en salles en mars 2000, et " The Brandon Teena Story ", de Susan Muska et Greta Olafsdottir.

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C'est un FTM ?

Car il est charmant il fait mauvais garçon j'adoreeeeeeeeeeee

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«Tout est fait comme si nous, trans, n'existions pas»
Par Marie Kirschen mardi 10 mars 2009, à 16h20 | 4735 vues
Plus de: trans, Axel Léotard
Photographe, travailleur social, et auteur, Axel Léotard signe «Mauvais Genre», un premier roman réussi sur les questions trans. Et dresse un état des lieux accablant de la prise en charge française des transgenres et transsexuelles.
C'est l'histoire d'une femme qui ne s'est jamais sentie de sexe féminin, et qui deviendra homme. Mauvais Genre est le récit de sa renaissance : le choix de la transition, les hormones, les opérations, les structures associatives... Jusqu'à devenir Gabriel. À travers ce personnage-fil rouge, Axel Léotard nous offre un beau portrait de la communauté trans. Militant résolu, c'est à lui que l'on doit les trois minutes de silence de la Marche des fiertés qui, chaque année, rendent hommage aux malades du sida. Il réussit cette fois la prouesse de signer un texte qui se lit comme un roman. Mais qui nous donne à voir comme un très bon documentaire, dont on sortirait plus riche et plus instruit. On suit Gabriel à travers son univers sans une seule fois avoir envie de refermer le livre.

Mauvais genre est un récit, et non pas une autobiographie. Pourtant tu possèdes beaucoup de points communs avec Gabriel, le personnage principal : tu es trans, photographe, tu as commencé ta transition à 33 ans... Oui, dans une certaine mesure, c'est mon histoire. Fiction et réalité sont mêlées, mais tout n'est pas autobiographique. Je voulais avant tout présenter la communauté trans, le monde de la prostitution au bois de Boulogne, les trans françaises bien intégrées...
Qu'est-ce qui change quand on passe de femme à homme? Quand tu deviens un homme, d'un seul coup tout est plus facile! Obtenir un travail, un poste à responsabilité... Si tu affirmes quelque chose, ta légitimité est plus importante que si tu étais une femme. Y compris pour des femmes. Ce parcours m'a donc rendu encore plus féministe!
Pourquoi avoir écrit ce livre? J'ai lu tous les bouquins parus en France sur la question trans, mais il manquait certains éléments. Par exemple, je n'ai pas vu de livres qui parlent de la stérilisation forcée imposée aux trans. Pour obtenir son changement d'état civil, un homme qui devient femme doit obligatoirement subir une vaginoplastie, alors que tous ne veulent pas de cette opération. Dans le cas d'une fille qui transitionne vers le genre masculin, la phalloplastie n'est pas obligatoire -pour la simple et bonne raison que les chirurgiens français ne savent pas la faire! Mais on lui enlèvera l'utérus, les trompes et les ovaires. Environs 150 grammes d'organes. Je trouvais très important qu'un hétéro de base puisse lire ça.
Tu écris donc avant tout pour le grand public? Je crois qu'il faut tout dire et qu'il faut tout mettre à la portée du plus grand nombre. Ce qui m'intéresse c'est que monsieur et madame Tout-le-monde lisent ce livre, et pas comme quelque chose de spectaculaire ou de sulfureux. Je voulais qu'ils puissent s'imaginer que Gabriel soit leur voisin. Ou leur fils! Et si c'était leur fils, qu'ils se demandent s'ils auraient pu accepter que la société le traite de cette façon.


Tu abordes également la question du VIH dans la communauté trans. Les trans sont la catégorie de population la plus touchée par le VIH. Le taux de séroprévalence est de 1 sur 2 parmi les trans, et de 8 sur 10 dans la communauté des trans prostituées précaires. Paradoxalement, c'est une population pour laquelle il n'y a eu aucune campagne de prévention, et aucune étude épidémiologique. Tout est fait comme si nous n'existions pas. Par contre, il existe un protocole de prise en charge à l'hôpital public, qui est particulièrement violent.
Dans Mauvais genre, tu montres ce protocole à l'hôpital, mais aussi un parcours de prise en charge d'une personne trans dans le secteur privé. Le système médical est-il à deux vitesses?
Oui, on a un système privé qui essaye grosso modo de se coller aux standards actuels de la WPATH, l'Association professionnelle mondiale pour la santé des transgenres, qui demande 3 mois de suivi psy maximum. Et un hôpital public qui est une véritable boucherie, et dont beaucoup de trans sortent broyés. Là, il y a deux ans de suivi psychiatrique. Et c'est seulement au bout de cette très longue période que le psy va essayer de déterminer si le patient est bien trans, pour lui donner une hormonothérapie. Pourtant, quand un crime est commis, l'expertise psy ne prend que de 1 à 3 mois...
Alors, que faudrait-il changer? Dans l'idéal, la consultation psychiatrique ne devrait pas durer plus de 3 mois. L'hormonothérapie devrait être possible avec, au cours de celle-ci, un changement d'état civil. Et il faut arrêter les stérilisations, ou les réassignations sexuelles obligatoires. Ce sont des pratiques dignes des camps de la Seconde Guerre mondiale.

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que de beau garçons tres interessant edi merci bisous

Dans mon lit il serait encore bien plus beaux
Andreea

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Ce film m'a remué violemment.

Voilà l'illustration de ce que l'être humain peut être capable, du meilleur mais surtout du pire !

E lly

Merci Edi !!!!

Axel c'est mon Amour secret !!! mais il le sait pas.........

J'ai eu la chance de le rencontrer, de lui parler, de passer un après midi avec lui.

C'est un sacré bonhomme, une Classe, un charme fou......... j'étais complètement envoutée...

Merciiiiiiii Edi pour ce magnifique sujet.

Je t'embrasse fort,

E lly