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Livre fini de révolte de visages de Carter sur Moyen-Orient Grève surprise de · par 14 membres de groupe des droits des ex-présidents Critique de · de l'Israel vue en tant que « recommandation malveillante » ED Pilkington à New York Vendredi 12 janvier 2007 Le gardien L'ancien Président Jimmy Carter des USA faisait face à une révolte de certains de ses propres défenseurs hier après que 14 membres du comité consultatif de son organisation de droits de l'homme aient démissionné dans la protestation à sa vue sur l'Israel et les Palestiniens. M. Carter a fait face à un jeu de denture à l'argument dans le sien le dernier livre, Palestine : La ségrégation de paix pas, pour un effort remplacé donner un coup de pied-commencent le processus de paix de le Moyen-Orient. Le livre a été dénoncé par quelques commentateurs comme anti-Israélien. Le comité 200 consultatif fort du centre de Carter est tiré des figures locales en avant à Atlanta, la Géorgie, où il est basé. Dans une lettre à M. Carter expliquant leur décision pour stopper, les 14 membres l'accusent de tenir « une position stridente et intransigeante ». Ils ont dit que le livre « dépeint le conflit entre l'Israel et ses voisins comme affaire purement recto avec l'Israel tenant toute responsabilité de résoudre le conflit… il semble que vous vous êtes tournés vers un monde de recommandation, y compris même la recommandation malveillante. » Le livre de M. Carter, qui est le numéro cinq dans la liste de best-seller de temps de New York pour la non-fiction de livre cartonné, a été le sujet de la critique de support. Le mois dernier un camarade du centre et le conseiller à long terme de Carter, Kenneth Stein, sont devenus le premier à démissionner. Le livre dépiste le processus de paix du rôle de M. Carter en tant qu'architecte du traité 1979 entre l'Egypte et l'Israel. Il blâme tous les côtés en conflit mais critique particulièrement des gouvernements israéliens successifs. « La mauvaise foi israélienne remplit pages, » a écrit le critique de livre de temps de New York. Les attaques les plus bruyantes sur M. Carter sont venues d'Alan pro-Israélien Dershowitz, un professeur à l'école de droit de Harvard. Dans une série d'articles édités sur un site Web de Boston sous l'Ex-Président For Sale de titre, prof. Dershowitz a accusé M. Carter d'avoir été en vin du Rhin aux chefs arabes dans les pays tels que l'Arabie Saoudite et les Emirats Arabes Unis. La guêtre entre les deux hommes a abouti à la autre polémique dans Brandeis, une université du Massachusetts fondée par la communauté juive en Amérique. M. Carter a refusé une invitation de parler là parce qu'il aurait dû discuter avec prof. Dershowitz. Hier, M. Carter a annoncé qu'il parlerait à l'université ce mois, mais seulement après que le professeur de loi avait été enlevé le billet. Son porte-parole a dit qu'il serait heureux de répondre à toutes les questions. Prof. Dershowitz a dit qu'il serait à l'événement et poserait des questions du plancher. « Je serai la première personne pour avoir ma main vers le haut. Je garantis qu'ils ne m'arrêteront pas d'être présent, » il ont dit Associated Press. Une partie de la réaction de raison au livre de M. Carter a été si ardante a été son utilisation de la ségrégation de mot de décrire le sort de Palestiniens, une comparaison avec l'ancien régime raciste dans sud-africain énergiquement rejeté par l'Israel.

Israel ne se contente pas d'un simple apartheid, il applique ce qu'il a subit pendant la guerre.
Depuis sa création, il prétexte la shoa pour protéger ses frontières. Or depuis 60 ans, lui même essaie d'exécuter cette shoa: il a commencé avec l'egypte de Nasser, avec l'aide des anglais et français pour prendre le controle du canal de suez, jusqu'à sa reconnaissance par l'Egypte; ensuite le Liban puis la Palestine et à nouveau le Liban, ceci sous la bienveillance américaine.
Le seul argument avancé reste le risque terroriste de la région. Or, depuis 1947, les attaques aux Proche Orient sont de leurs faits.

De plus, il ne peut y avoir de processus de paix, pour une raison simple: Israel a besoin de cette tension pour agrandir son territoire par les armes.
S'il y avait une paix, il serait obliger de reconnaitre un Etat Palestinien, ce qui implique des frontières définies, non extensibles. Or, la politique israelienne est de faire revenir tous les judaiques du monde sur leur Terre, ce qui implique forcément une extension territoriale. Et le seul territoire fluctuant est le territoire palestinien.

ps : mais cela releve aussi du partage mondial qui a eu lieu a yalta pour l europe et israel instigué par churchild roosvelt et staline