Le forum I - TRANS - Transgenre et Transsexualité | Transidentité - Infos et Rencontres

C'est le 30 février ça non ?

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" on ne peut pas rattraper le temps perdu mais on peut arrêter de perdre son temps "

ca nous on sait pas mais par contre on sait te dire que t'es un gros con l'enculeur de fricandelle. passqu'après la fricandelle belge j'aimagine que tu vas encore sortir une brillantissime plaisanterie sur les portugais. t'es qu'un blaireau en fait. un gros blaireau très con.

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Marche, où crève. https://laguenon.wordpress.com/

laisse les vieux frustrer ils sont entre eux la miss phallique et aline le translover de service laisse les faire leurs touche pipi

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Je pressens tout ce qui m’entoure, mon âme d’enfant est une grande excitée.
Je crie ma liberté cueillie en cette vie flamboyante, j’en suis émerveillé.
des peurs.
J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre.

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" on ne peut pas rattraper le temps perdu mais on peut arrêter de perdre son temps "

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Je pressens tout ce qui m’entoure, mon âme d’enfant est une grande excitée.
Je crie ma liberté cueillie en cette vie flamboyante, j’en suis émerveillé.
des peurs.
J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre.

Euh ? Ai-je bien lu, Alexia ? Tu dis du bien d'assoces ? Ben alors... Je croyais que tu tenais fermement que celles ci n'étaient formées que de pourriEs mégalomanes et d'assistéEs chroniques. Voir un précédent échange.

Cela dit, je reste comme toujours entre les deux ; par exemple, je ne suis pas une fan de ce genre de kermesses (même si je ne vais pas les en blâmer).

Plume

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La fem-garoue ! Toujours aussi mal épilée, toujours intenable malgré ses rhumatismes les nuits de pleine lune et les jours de révolution sociale. Et pis aussi, faut bien le dire, quand y a du bon vieux punk-rock raisonnablement mélodique des années 80...

n'importe quoi je t'aie juste dis que jusque a présent il y as riens de concret de fait de leurs part a part se flatter leurs egos

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Je pressens tout ce qui m’entoure, mon âme d’enfant est une grande excitée.
Je crie ma liberté cueillie en cette vie flamboyante, j’en suis émerveillé.
des peurs.
J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre.

y'en a qui ont plus que la mémoire d'un poulpe !

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" on ne peut pas rattraper le temps perdu mais on peut arrêter de perdre son temps "

oui biens sur une bite a la place comme toi est oui t'est pas seule

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J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre.

Ah - oui, j'avais indument extrapolé sur la discussion de l'autre jour. Mes excuses.

Bah, cela dit, ça me paraît indubitable que le monde du collectif est un gonfleur d'égos. Dans le monde actuel, où exister réclame des supports et de la reconnaissance, le contraire serait étonnant. Après, que cela se conjugue fatalement avec l'impuissance, je doute.

Plume

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La fem-garoue ! Toujours aussi mal épilée, toujours intenable malgré ses rhumatismes les nuits de pleine lune et les jours de révolution sociale. Et pis aussi, faut bien le dire, quand y a du bon vieux punk-rock raisonnablement mélodique des années 80...

Mais qu'est-ce qui fait que tout part en cacahuète après. j'imagine qu'au départ, les intentions étaient philanthropiques, non ?

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" on ne peut pas rattraper le temps perdu mais on peut arrêter de perdre son temps "

les tienes sont plutot phalo tromp a ics

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J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre.

tu es vraiment le visage de la débilité profonde

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" on ne peut pas rattraper le temps perdu mais on peut arrêter de perdre son temps "

jaloux meme avec tout les acides dans ta tronche tu peut courrir avec ton 42

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Ben... non, pas en tous cas dans ce quoi j'ai trempé... La "philanthropie" suppose je crois une approche compassionnelle. Ce qui n'est (ou n'était) pas du tout le genre de la maison. C'était du politique (avec tous les sales comme les bons côtés de ce que cette notion recouvre). Il ne s'agissait pas de s'apitoyer, ni sur nous ni sur autrui. Il ne s'agissait pas non plus simplement de "revendiquer des droits", ou de couiner "mais on est comme tout le monde". Pour tout dire c'était fréquemment l'inverse du second.
Bon, après, depuis cinq ou six ans tout ça s'est franchement orienté dans un sens plus intégrationniste et pragmatique. On peut difficilement le reprocher. Les ancienNEs de cette génération (90 et début 00), on est plutôt esquintéEs par ce qu'on a voulu et vécu. On a trop exigé de nous mêmes. On n'a pas compris, je crois, que si on voulait vraiment être autres il fallait d'abord vivre pour soi (condition sine qua non à créer des bases qui servent aussi à autrui).

Plume

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La fem-garoue ! Toujours aussi mal épilée, toujours intenable malgré ses rhumatismes les nuits de pleine lune et les jours de révolution sociale. Et pis aussi, faut bien le dire, quand y a du bon vieux punk-rock raisonnablement mélodique des années 80...

ben oui vivre par soi même avant de vouloir représenter les autres qui ont rien demandé. Et qui se vivent, elles, très bien par elles mêmes.

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J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre.