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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 25 Oct 2025, 20:06 
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Meav a écrit:
@olga

+1000
La soumission, JAMAIS ! Plutôt crever.
Abandonner nos Libertés et nos valeurs démocratiques, qui sont déjà maigres, n'est pas une option.
Céder à un régime fasciste de la pire espèce avec Poutine ( ou autres ) n'est pas acceptable.
Hélas, nous devons nous préparer à la guerre et il faut le vouloir si nous voulons survivre et ne pas baisser nos culottes !
Ne comptons pas sur Trump ! C'est le toutou de Poutine.
Poutine doit se réjouir devant nos tergiversations et déculottages.
S'il arrive à vaincre l'Ukraine grâce à nos faiblesses et la trahison de Trump, il va reconstituer une armée durant quelques temps avant de s'attaquer à l'Europe. 1 an, 2 ans, 3 ans de répit ? Le feu couve.


Merci de ton commentaire

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Ce que tu sais , tu dois le dire , ainsi ils ne pourront pas dirent qu'ils ne savaient pas
Arrêtons le monstre, rien n'est pire que le silence


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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 25 Oct 2025, 20:11 
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ENCORE DES COMMENTAIRES STUPIDES DE SUSY QUI N'EST PAS LA BIENVENUE SUR MON SUJET


[POUTINE PREPARE LA GUERRE CONTRE L'EUROPE PROCHAINEMENT CAR IL HAIT NOS VALEURS DEMOCRATIQUES , IL A PEUR DE LA CONTAMINATION DES VALEURS DEMOCRATIQUES SUR LES RUSSES ,CELA DETRUIRAIT SON POUVOIR


SI TU vEUX LA PAIX PREPARE LA GUERRE , CAR POUTINE RECULERA DEVANT LA FORCE

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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 25 Oct 2025, 20:13 
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Meav a écrit:
@olga

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La soumission, JAMAIS ! Plutôt crever.
Abandonner nos Libertés et nos valeurs démocratiques, qui sont déjà maigres, n'est pas une option.
Céder à un régime fasciste de la pire espèce avec Poutine ( ou autres ) n'est pas acceptable.
Hélas, nous devons nous préparer à la guerre et il faut le vouloir si nous voulons survivre et ne pas baisser nos culottes !
Ne comptons pas sur Trump ! C'est le toutou de Poutine.
Poutine doit se réjouir devant nos tergiversations et déculottages.
S'il arrive à vaincre l'Ukraine grâce à nos faiblesses et la trahison de Trump, il va reconstituer une armée durant quelques temps avant de s'attaquer à l'Europe. 1 an, 2 ans, 3 ans de répit ? Le feu couve.


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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 26 Oct 2025, 11:37 
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https://www.google.com/url?sa=t&source= ... ByeyGnYtj-

Le ton monte contre la Russie. Les Etats-Unis ont annoncé, mercredi 22 octobre, des sanctions contre deux géants du secteur des hydrocarbures russes, Rosneft et Lukoil, et l'Union européenne a décidé un arrêt total des importations de gaz naturel liquéfié russe d'ici à fin 2026. Voici ce que l'on sait sur ces mesures, leur portée et leurs possibles conséquences économiques et politiques.
Deux groupes stratégiques visés

Les sanctions américaines impliquent un gel de tous les actifs de Rosneft et de Lukoil aux Etats-Unis ainsi qu'une interdiction faite à toutes les entreprises américaines de faire affaire avec ces sociétés. Rosneft, dont l'Etat russe est l'actionnaire majoritaire, affirme produire environ 40% du pétrole russe. Pour sa part, Lukoil, une entreprise privée, revendique autour de 15% de la production russe d'or noir. Les deux groupes produisent aussi du gaz.

Ils sont des piliers de la rente des hydrocarbures permettant à la Russie de financer la guerre contre l'Ukraine. Pour cette raison, plusieurs raffineries de Rosneft et de Lukoil ont été endommagées ces derniers mois par des attaques de drones ukrainiens, entraînant d'importantes baisses de production et une hausse du prix de l'essence en Russie.


Les Européens ont également ciblé le secteur pétrolier russe en annonçant mercredi soir un 19e train de sanctions, notamment un arrêt total des importations de GNL russe d'ici à fin 2026 et des mesures contre la "flotte fantôme" de pétroliers que Moscou utilise, jusqu'ici sans grande peine, pour contourner les sanctions.
De possibles sanctions secondaires

Lukoil et Rosneft se trouvent désormais sur la liste des entités sanctionnées par les Etats-Unis (SDN list) qui est également en vigueur dans de nombreux autres pays. Les sociétés travaillant avec ces deux compagnies peuvent être touchées par ricochet, notamment être privées d'accès à des banques américaines, négociants, expéditeurs et assureurs qui forment l'ossature du marché des matières premières.

La menace de sanctions secondaires est "très importante" parce que personne ne veut être "privé de relations" avec le secteur bancaire américain, essentiel dans les transactions en dollars, souligne auprès de l'AFP Maia Nikoladze, un expert du centre de réflexion Atlantic Council, basé aux Etats-Unis. Ces sanctions ont ainsi principalement pour objectif, selon l'expert russe Alexeï Gromov, d'empêcher la Russie et l'Inde, devenue l'un des principaux importateurs de pétrole russe, d'échanger en dollars.
Un tournant de la politique américaine


Donald Trump est allé plus loin que son prédécesseur démocrate Joe Biden, qui avait sanctionné deux compagnies pétrolières russes de moindre envergure, Gazprom Neft et Surgutneftegas, avant son départ de la Maison Blanche. "Inclure les plus grandes entreprises pétrolières de Russie dans la SDN list, même Biden n'avait pas décidé d'aller jusque-là", relève un analyste interrogé par la radio russe BFM, Georguï Bovt.

"C'est un tournant concernant la pression politique exercée sur la Russie", renchérit auprès de l'AFP Jorge Leon, un analyste du centre de recherche Rystad Energy. "Nous allons assister à une diminution des achats officiels de brut russe et probablement à une augmentation du trafic commercial de la 'flotte fantôme' russe", estime-t-il.

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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 26 Oct 2025, 13:07 
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Bjr,

Alors,

Susy dit: "J'esperes que vous etes pretes a servir de chair a canon mes petites cheries, . Car voila ce qui attends l'emsemble de la planetes . Mais pour vous.... je ne comprend pas pourquoi vous n’êtes pas deja sous les bombes la bas sur le frond de l'est
Allez aujourd'hui vous ne me direz quand meme pas que je sert la soupe a poutine.
NON A TOUTES LES GUERRES DU KAPITAL"
Le nombre de "fote daurtografe" est anormalement élevé. Elle dit avoir près de 70 ans c'est assez grave pour quelqu'un qui se prêtent franco-française.
Même en utilisant l'alphabet cyrillique d'une langue bien connue je n'en fais pas autant en aussi peu...

Petite information que vous oubliez miss Susy, en France nous sommes en période de réflexion sur les PLF & PLFSS. Dont qui de savoir qui va payer et selon qu'elle assiette fiscale. La taxe Zucman stop ou encore...
En fédération de Russie il doit y avoir les les élections à la Douma lan prochain. Nous c'est houleux depuis le refus (Présidentiel et Primo ministériel) sur un PLFR de B. Le Maire qui n'avait que des hausses d'impôts juste avant les Européennes qui a entraîné une dissolution loupée...

Après tenir un discours d'ingratitude style RN ou de Trump qui ne prêtent ou donnent aucunement aux autres pays où à des causes qui ne rapportent soit disant rien sur le plan vénal. C'est un raisonnement de dinausore qui arrange bien le Poutinausore.

En France, j'ai vu des manifestations de soutien à l'Ukraine, à l'Israël, la Palestine mais jamais en soutien de l'invasion Russe ou pro Poutinausauresque.

Venir ici menacer curieusement les participantes sachant que la fed. de Russe à comme au début des problématiques d'approvisionnements de carburant et même dernièrement des limitations pour les usages non militaires en carburant.

A chaque fois que l'on prend un train de sanction contre le régime russe, le Poutinausore menace et encaisse les coups financiers des plus en plus exorbitants pour son économie.

Nous réfléchissons à affecter deux cents milliards de fonds oligarques confisqués pour aider l'Ukraine contre la Russie. Et le Poutinausore menace de manière concomitante ceux qui voudraient agir contre lui. Réponse mi décembre lors d'une prochaine réunion avec UVDL.
La Belgique coince sur cette confiscation des 200 Mds où sont hébergés les fonds pour un problème de solidarité en cas de manque de base légale et de sanctions mirroir à cette confiscation.
Comme dit il y a de nombreux mois, Poutinausore respecte la loi en vigueur si cela l'arrange dans les autres cas où cela ne l'arrange pas c'est son bon vouloir.

D. J. Trump depuis le premier jour de son entrée en fonction gueule contre le Bibi en Israël et le Poutinausore en fédération de Russie. Lui qui voulait le Prix Nobel de la paix comme Obama, il s'est fait grillé la priorité par quelqu'un d'autre. Il n'a même pas été retenu pour le Prix Sakharov. Il continue de s'exciter sur son réseau social pour dire ce qu'il pense de truc ou de machin. Et c'est tout.


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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 27 Oct 2025, 17:26 
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Pourquoi la guerre ?

27 octobre 2025 – Par Lundi matin (source)
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L’échec économique et politique des États-Unis

Un processus politique et économique à la fois double, contradictoire et complémentaire est en cours : l’État et la politique (américaine) affirment avec force leur souveraineté par la guerre (y compris la guerre civile) et par le génocide. Dans le même temps, ils manifestent leur complète subordination au nouveau visage pris par la puissance économique depuis la crise financière de 2008, en promouvant une financiarisation sans précédent, tout aussi illusoire et dangereuse que celle qui a produit la crise des subprimes. La cause du désastre qui nous a conduits à la guerre est devenue un nouvel élixir pour sortir de la crise — une situation qui ne peut qu’annoncer d’autres catastrophes et d’autres guerres. Une analyse de ce qui se passe aux États-Unis, cœur du pouvoir capitaliste, est cruciale, car c’est de son sein, de son économie et de sa stratégie de puissance, que sont parties toutes les crises
Continuer la lecture sur le site d'origine...

et toutes les guerres qui ont ravagé et, aujourd’hui encore, ravagent le monde.

Le nœud du problème réside dans l’échec du modèle économique et politique américain, qui le pousse nécessairement à la guerre, au génocide et à la guerre civile interne (pour l’instant rampante, mais qui s’est déjà matérialisée une première fois au Capitole à la fin de la présidence de Donald Trump). L’économie américaine aurait dû déclarer faillite depuis longtemps, si les règles qui s’appliquent aux autres pays s’appliquaient à elle. Fin avril 2024, la dette publique totale — dite Total Treasury Securities Outstanding, c’est-à-dire la somme des différents bons et titres de dette du gouvernement — s’élevait à 34 617 milliards de dollars. Douze mois plus tôt, cette somme était de 31 458 milliards. En un an, la dette publique a augmenté de 3 160 milliards, presque l’équivalent de la dette publique de l’Allemagne, quatrième puissance économique mondiale. Sa progression exponentielle est désormais complètement hors de contrôle, avec une hausse d’un trillion tous les cent jours. Aujourd’hui, nous en sommes déjà à un trillion tous les soixante jours.

S’il est une nation qui vit sur le dos du monde entier, ce sont les États-Unis. Le reste du monde paie ses dettes (les dépenses insensées de l’« American way of life » — dont, de toute évidence, seule une partie des Américains bénéficie — et de son immense appareil militaire) de deux manières principales. Par le dollar, la marchandise la plus échangée au monde, les États-Unis exercent un seigneuriage sur toute la planète, car leur monnaie nationale fonctionne comme monnaie du commerce international, leur permettant de s’endetter comme aucun autre pays. Après la crise de 2008, les États-Unis ont trouvé une autre façon de faire supporter le coût de la dette à autrui grâce à une réorganisation de la finance. Les capitaux (principalement en provenance d’alliés et, parmi eux, surtout d’Europe) sont transférés vers les États-Unis pour payer les taux d’intérêt croissants de la dette, grâce aux fonds d’investissement. Après la crise financière, une concentration du capital s’est opérée par quinze années de quantitative easing (liquidités à coût nul) menées par les banques centrales, aboutissant à un monopole à une échelle que le capitalisme n’avait jamais connue. Avec l’aide politique des administrations Obama et Biden, un tout petit groupe de fonds d’investissement américains gère des actifs (c’est-à-dire la collecte et la gestion de l’épargne) compris entre 44 000 et 46 000 milliards de dollars. Pour se faire une idée de ce que signifie cette centralisation monopolistique, on peut la comparer au PIB de l’Italie — 2 000 milliards — ou à celui de l’ensemble de l’Union européenne — 18 000 milliards. Les « Big Three », comme on appelle les trois plus grands fonds (Vanguard, BlackRock, State Street), constituent, en réalité, une entité unique, car les fonds sont copropriétaires les uns des autres et difficiles à attribuer.

La fortune de cet « hyper-monopole » a été bâtie sur la destruction de l’État social. Pour les retraites, la santé, la scolarité et tout autre type de service social, les Américains sont contraints de souscrire toutes sortes d’assurances. C’est maintenant au tour des Européens, avec le reste du monde occidental (mais aussi de l’Amérique latine de Milei), de se remettre entre les mains des fonds d’investissement, au rythme du démantèlement des services sociaux (les salaires indirects garantis par l’État social sont transformés en charges, coûts et dépenses que chacun doit assumer pour assurer sa propre reproduction). Les États-Unis ont un double intérêt à poursuivre et intensifier le démantèlement mondial du welfare : un intérêt économique, car il incite à investir dans les fonds de titres (qui servent à leur tour à acheter des bons du Trésor, des obligations et des actions d’entreprises américaines) et un intérêt politique, car la privatisation des services signifie individualisme et financiarisation de l’individu, transformé de travailleur ou de citoyen en petit opérateur financier (et non en « entrepreneur de soi-même », comme le récite l’idéologie dominante). Les politiques fiscales convergent également vers le projet de défaire l’État social. Ni les riches ni les entreprises ne sont mis à contribution, et la progressivité de l’impôt est réduite à zéro ; il n’y a donc plus de ressources pour les dépenses sociales et, en conséquence, une incitation à acheter des polices privées qui finissent dans les fonds d’investissement. Le plan de destruction de tout ce qui avait été conquis par deux cents ans de luttes est, enfin, en voie de réalisation.



L’épargne américaine ne suffit plus à alimenter le circuit de la rente ; les fonds d’investissement s’attaquent donc désormais à l’épargne européenne. Par exemple, les 35 000 milliards de dollars qu’Enrico Letta voudrait allouer à un grand fonds d’investissement européen fonctionneraient sur les mêmes principes : produire et distribuer de la rente, en modelant les mêmes gigantesques différences de classe qu’aux États-Unis. La raison de l’appauvrissement rapide et incroyable de l’Europe se trouve dans la stratégie économique mise en œuvre par son allié américain. L’écart négatif avec les États-Unis est passé de quinze pour cent en 2002 à trente pour cent aujourd’hui. Plus l’Europe se fait dépouiller, plus ses classes politiques et médiatiques deviennent atlantistes et bellicistes, servilement enclines envers ceux qui la marginalisent dramatiquement, la poussant à la guerre avec la Russie (qu’elle n’est, soit dit en passant, même pas capable de soutenir). Les États européens se sont substitués à la Chine et à l’Asie de l’Est pour acheter des bons du Trésor américain et, poursuivant la démolition du welfare, contraignent les populations à souscrire des assurances qui aboutissent sur les comptes des fonds d’investissement. Ce faisant, l’euro est transformé en dollar, sauvant ainsi la dollarisation de la menace que représente le refus du Sud de se soumettre à la domination de la monnaie américaine.

Ce transfert de richesse touche aussi l’Amérique latine, où Milei est l’avant-garde de la nouvelle financiarisation visant à tout privatiser. Le néo-fascisme de Milei est un laboratoire d’adaptation des techniques de rapine américaines, adoptées en Europe, au Japon et en Australie, jusque dans les économies plus faibles. Ce n’est pas le fascisme classique, c’est le nouveau fascisme « libertarien » de la rente et des fonds d’investissement qu’incarne Milei, pâle copie idéologique du fascisme de la Silicon Valley né de ses entreprises « innovantes ».

La politique économique de Biden, qui veut rapatrier des industries délocalisées, appauvrit encore davantage le reste du monde et particulièrement l’Europe, qui voit les entreprises implantées sur son territoire tenter de traverser l’Atlantique. Les énormes allégements fiscaux que cela nécessite sont financés par la dette, tout comme les milliards de dollars de bombes que les États-Unis envoient sans relâche à l’Ukraine et à Israël, ce qui signifie qu’ironiquement, l’Europe finance une fois de plus la politique même destinée à réduire sa capacité productive, tout en payant deux fois pour la guerre et le génocide : une première fois en achetant des bons du Trésor et des polices qui permettent aux États-Unis de s’endetter, une seconde en se contraignant à bâtir une économie de guerre (acceptée et accélérée par des classes politiques en pente douce vers le suicide).

Comme l’a dit Kissinger, « être l’ennemi des États-Unis peut être dangereux, mais être leur ami est fatal ». Cette énorme liquidité a permis aux fonds d’investissement d’acheter, en moyenne, 22% de l’ensemble de la liste Standard & Poor’s, qui contient les 500 plus grandes entreprises cotées à la Bourse de New York. Les fonds sont déjà présents dans les plus importantes entreprises et banques européennes (surtout en Italie, où elles sont bradées à un rythme accéléré) et leurs spéculations décident pratiquement du sort de l’économie en orientant les choix des « entrepreneurs ».

Il fut un temps où l’on délirait sur l’autonomie du prolétariat cognitif, l’indépendance de la nouvelle composition de classe. Rien n’est plus faux. Ceux qui décident où, quand, comment et avec quelle force de travail produire (salariée, précaire, servile, asservie, féminine, etc.) sont, une fois encore, ceux qui détiennent le capital nécessaire, ceux qui possèdent la liquidité et le pouvoir de le faire (aujourd’hui, ce sont assurément les « Big Three »). Ce n’est certainement pas le prolétariat le plus faible des deux derniers siècles. Loin de l’autonomie et de l’indépendance, la réalité de classe est la subordination, l’assujettissement et la soumission, comme jamais dans l’histoire du capitalisme. Être « travail vivant » est une disgrâce, parce que c’est toujours du travail commandé, comme celui de mon père et de mon grand-père. Le travail ne produit pas « le » monde, mais le « monde du capital », qui, jusqu’à preuve du contraire, est tout autre chose, car c’est un monde de merde. Le travail vivant ne peut gagner son autonomie et son indépendance que par le refus, la rupture, la révolte et la révolution. Sans cela, son impuissance est assurée.
L’affrontement fratricide du capital financier américain

Dans un article de Dynamo Press, Luca Celada affirme que Robert Reich l’a un jour qualifié de « progressiste » parce qu’il était un ancien ministre du gouvernement Clinton qui, en bon démocrate, a intensifié la financiarisation (et la destruction concomitante du welfare) et ancré des inégalités de classe abyssales, posant une base solide pour la catastrophe de 2008, origine des guerres actuelles. [1] Les actions de Musk et Thiel, entrepreneurs de la Silicon Valley alliés de Trump, sont souvent vues comme la menace d’un nouveau monopole ; pourtant, on tient peu compte de la centralisation de pouvoir sans précédent des fonds d’investissement qui « font la pluie et le beau temps » depuis quinze ans, avec la complicité active des démocrates qui, de concert, créent les conditions de la prochaine catastrophe financière.

Peut-être ne s’agit-il pas d’un hasard : « l’entrée en politique » des géants de la Tech a coïncidé avec les premiers signes d’une action réglementaire plus vigoureuse de l’administration Biden-Harris, incluant les premières véritables actions antitrust contre des géants tels que Google, Amazon et Apple intentées par la présidente de la Federal Trade Commission, Lina Khan (dont la thèse portait sur le monopole d’Amazon), et l’adjoint au ministre de la Justice tout aussi combatif, Jonathan Kanter. Il n’est donc guère surprenant que certains barons de la Tech misent sur le candidat le plus susceptible de leur délivrer un nouveau chèque en blanc, voire d’en nommer certains au sein de son propre cabinet.



Kamala Harris est liée pieds et poings à la volonté des fonds d’investissement, puisque les principaux actionnaires de toutes (et réellement toutes) les entreprises que mentionne Celada sont précisément ces fonds. On voit mal comment elle pourrait jamais contrer leur monopole, étant donné que le salut des États-Unis et celui de son parti (« les Démocrates pour le génocide ») en dépendent. La justification de l’aveuglement des « progressistes » se trouve dans le néo-fascisme de Trump. S’il est élu, nous passerons de Charybde en Scylla ; mais il ne faut pas oublier qu’avec l’élection de Biden déjà, nous sommes tombés la guerre et le génocide. On nous avait assuré que la violence nazie n’était qu’une parenthèse, mais les démocrates nous ont rappelé que le génocide n’est, en réalité, qu’un des outils par lesquels le capitalisme opère depuis sa naissance. La démocratie américaine est fondée sur le génocide et l’esclavage. Le racisme, la ségrégation et l’apartheid en sont des composantes structurelles. La complicité avec Israël a des racines profondes dans l’histoire de la « plus politique » des démocraties, comme le disait Hannah Arendt.

Les petits monopolistes comme Musk ont bougé parce que les grands monopoles ne leur laissent pas d’air, mais lui et ses semblables restent entièrement subordonnés à leur logique. En réalité, ce que nous voyons, c’est un affrontement interne au capital financier américain : les petits monopolistes voudraient incarner les « esprits animaux » du capitalisme, bridés, selon eux, par l’alliance des démocrates avec les grands fonds d’investissement. Tout en agitant leur fascisme futuriste (rien de vraiment nouveau si l’on pense au fascisme historique, où le futurisme de la vitesse, de la guerre et des machines s’harmonisait parfaitement avec la violence anti-prolétarienne et anti-bolchévique), le transhumanisme et un délire encore plus oligarchique et raciste que celui de la finance des fonds, ces petits monopolistes s’accordent en fait avec les grands sur la question cruciale : la propriété privée, alpha et oméga de la stratégie du capital. Leur agenda commun est de tout financiariser, ce qui signifie tout privatiser. Les problèmes surgissent, cependant, sur la manière de se partager cet immense gâteau. Pour comprendre les limites de l’analyse « progressiste », il faut rapidement entrer dans la mécanique de la financiarisation monopoliste par les fonds d’investissement après 2008.

La crise des subprimes était sectorielle, et la spéculation se concentrait dans l’immobilier. Aujourd’hui, au contraire, la finance est omniprésente. D’Obama à Biden, les administrations démocrates ont toléré l’infiltration des fonds d’investissement dans toute la société, si bien qu’il n’est plus aujourd’hui de sphère de la vie qui ne soit financiarisée.

Financiarisation de la reproduction : on parle beaucoup de la centralité de la reproduction dans nos mouvements, mais elle est abyssalement en retard sur l’action des fonds d’investissement, dont la condition préalable a été la destruction du welfare. Les démocrates ont abandonné toute vague ambition d’un nouveau programme social, misant tout sur la privatisation de tous les services. Ils l’ont théorisé ouvertement : la démocratisation de la finance doit se traduire par la financiarisation de la classe moyenne. Les fonds, facilités de toutes les manières par les démocrates, offriraient un placement financier sûr, de sorte que les Américains qui achètent les titres qu’ils produisent soient contraints d’assurer le revenu et les services que le travail ne fournit plus (c’est-à-dire ceux qui peuvent se le permettre, étant donné que les pauvres, les femmes seules et la grande majorité des travailleurs ne le peuvent pas ; dans une enquête récente, 44 % des ménages américains sont incapables de faire face à une dépense imprévue de 1 000 $).

Pour Kamala Harris, la classe moyenne va jusqu’à un revenu de 400 000 $ par an. C’est un chiffre parlant pour comprendre la composition sociale que les démocrates prennent pour référence. Le travail et les travailleurs ont complètement disparu de leur horizon, tout comme « la gauche » en général. Le miracle de la multiplication des pains et des poissons, répliqué par la finance et déjà échoué en 2008, est de nouveau proposé comme solution à la « question sociale ». Pour le dire encore, il s’agit d’un processus de financiarisation du welfare, puisque les obligations et polices sont désormais destinées à remplacer les services fournis par l’État. On peut citer aussi le cas italien : face au désinvestissement de l’État dans des territoires dévastés par la crise climatique, le ministre de la Protection civile a relancé l’idée d’une assurance inondation obligatoire. Matteo Salvini est intervenu en déclarant que « l’État peut donner des orientations, mais nous ne vivons pas dans un État éthique où l’État impose, interdit ou oblige » et a proposé une nouvelle loi obligeant les salariés à investir une partie de leur indemnité de fin de carrière (TFR) dans des fonds de pension, afin d’obtenir, au terme de leur carrière, une retraite complémentaire. Évidemment, il a dit cela sans comprendre le rapport que cela entretient avec les fonds d’investissement américains (par naïveté ou pure idiotie), puisque, en réalité, soixante-dix pour cent finiraient convertis en dollars aux États-Unis.



La financiarisation transforme les entreprises en agents financiers. Elle touche aussi les entreprises qui produisent des profits réels, licencient du personnel, et dont les dividendes énormes ne sont pas investis, mais largement distribués aux actionnaires ou utilisés pour racheter leurs propres actions afin d’en faire croître la valeur et d’augmenter leur capitalisation (qui n’a, à ce stade, plus grand-chose à voir avec ce qu’elles produisent et vendent réellement). Cela va de pair avec la financiarisation des prix : ce n’est pas le marché (les relations d’offre et de demande de biens) qui fixe les prix, mais les paris des courtiers (via des dérivés) qui n’ont aucun rapport ni avec la production ni avec le commerce réel. Les prix sont fixés par des firmes financiarisées qui contrôlent les secteurs de l’énergie, de l’alimentation, des matières premières, du pharmaceutique, etc., à partir d’une position de monopole ou d’oligopole absolu (les principaux actionnaires de ces firmes sont toujours de grands fonds d’investissement). L’inflation qui a récemment éclaté est l’issue de la spéculation sur les prix et ne dépend en rien d’augmentations salariales ou de dépenses sociales. La combinaison de ces financiarisations qui investissent la « vie » (bien que le terme soit ambigu) se traduit par des différences explosives de revenus et, surtout, de patrimoines, dont les travailleurs et l’ensemble des populations qui ne peuvent pas acheter des actions sont les premières victimes.
L’échec de la gouvernance néolibérale et la guerre

L’affirmation du monopole consacre la fin du néolibéralisme et de l’idéologie du marché, et mérite donc quelques remarques. Évidemment nous parlons d’idéologie à propos de la notion de concurrence, car le processus de verticalisation économique se poursuit sans relâche depuis au moins la fin du XIXᵉ siècle. Il a même explosé précisément pendant le néolibéralisme.

Les fonds d’investissement, comme on l’a déjà noté, sont aujourd’hui devenus essentiels à la centralité du pouvoir américain, plus que toute autre institution. Dans le même temps, ces fonds ont besoin des politiques fiscales du gouvernement (ne pas taxer la finance, tout en taxant le travail), d’ordonnances et de concessions, que Obama (président noir, mais en parfaite continuité avec le blanc qui l’a précédé et celui qui lui a succédé) leur a généreusement accordées et que Biden a consolidées plus encore. Un problème théorique et politique surgit ici : la finance, qui devrait représenter la forme la plus abstraite de la valeur et la figure cosmopolite parfaitement accomplie du capitalisme, est, en Occident, commandée et gérée par des appareils qui arborent le drapeau américain. Les fonds d’investissement américains agissent de concert avec les administrations des États-Unis, poursuivant leurs intérêts aux dépens du monde entier. La monnaie est dans la même situation. Il n’existe pas de monnaie supranationale ; la monnaie est toujours nationale parce qu’elle est étroitement liée, surtout le dollar, aux politiques décidées par l’État qui l’émet. On peut dire que monnaie et finance représentent la tendance à sortir des limites territoriales des États, tout en étant incapables de le faire. La relation entre les États-Unis et les fonds d’investissement organise une action globale favorable à quelques Américains et à leurs oligarchies.

La seconde observation concerne la lecture du néolibéralisme, que beaucoup croyaient encore en vigueur alors qu’il est mort : tué par les fascismes, les guerres et le génocide. Il en alla de même pour son illustre prédécesseur, le libéralisme, censé éviter les petits désagréments qu’il avait causés (les deux guerres mondiales et le nazisme) et qu’il a nécessairement fini par reproduire. Cette analyse doit beaucoup au récit de Michel Foucault sur la biopolitique, qui a exercé une influence néfaste sur la pensée critique. Foucault lit le néolibéralisme comme une théorie de l’entreprise et de sa subjectivation, un processus dans lequel nous devenons des « entrepreneurs de nous-mêmes ». Il ne mentionne jamais, même en passant, les appareils du crédit, de la monnaie et de la finance sur lesquels la stratégie capitaliste s’est bâtie depuis la fin des années 1960. L’instrument principal de la contre-révolution, pour reprendre Paul Sweezy, c’est le « grand endettement de l’État, des ménages, des entreprises », et non la production. L’entreprise est une idéologie et une idée ordo-libérale appartenant à l’Occident industriel, aux années 1930 et à l’après-guerre — un monde bel et bien mort. L’ordo-libéralisme voit l’économie comme une instance entraînant la mort du « souverain », alors que la finance fait advenir le grand monopole (le souverain économique). Mais, dans le capitalisme, le souverain économique a besoin du « souverain » politique (l’État) pour se constituer. La tête du souverain n’a pas été coupée de l’économie, elle a été doublée, rendant extrêmement efficace la centralisation du pouvoir du capital et de l’État.

Foucault a, tout simplement, confondu une époque, tout comme ses élèves qui ont reproduit les erreurs du maître, Dardot et Laval avant tout. Le marché n’a jamais fonctionné comme Foucault le croyait et comme les ordolibéraux le croyaient, c’est-à-dire sur la base de la concurrence. Au contraire, sa vérité est représentée par le fonctionnement de la finance, qui fixe les prix depuis un monopole spéculatif n’ayant rien à voir avec l’offre et la demande de biens réels (récemment, le prix de l’énergie a été multiplié par dix, sans rapport avec sa disponibilité réelle ; il en va de même pour les céréales, etc.). La subjectivation n’est pas représentée par l’entrepreneur, mais par la transformation illusoire des individus (pas tous, avons-nous dit) en agents financiers. Pour la finance, la « population » et le monde sont faits de créanciers, de débiteurs et d’investisseurs en titres, actions et obligations. La financiarisation de la classe moyenne, poursuivie par l’alliance entre démocrates et fonds d’investissement, est la dernière chimère destinée à se dissiper lors du prochain effondrement.
L’inévitable guerre des États-Unis

Aujourd’hui, le processus que les théoriciens de la biopolitique n’avaient même pas entrevu a atteint son zénith. La croissance en Occident est exclusivement financière (alors qu’elle est réelle dans le Sud global). Sa production (l’argent qui produit de l’argent, comme « le poirier qui produit des poires », disait Marx) est une fiction, une fabrication de papier brouillon qui engendre pourtant des effets bien réels. Les fonds d’investissement font grimper les prix des titres des entreprises dont ils détiennent les actions afin d’encaisser des dividendes à distribuer aux souscripteurs. Ce n’est pas de la richesse nouvelle, mais seulement l’appropriation, la capture et le rapt d’une valeur déjà existante, simplement transférée du reste du monde vers les États-Unis — d’un point de vue de classe, on pourrait dire du travail vers le capital spéculatif. Si ce « vol » de la richesse produite dans le reste du monde cessait, tout le système s’effondrerait.



Le vrai nom de ce processus est la « rente ». Son circuit est garanti et sécurisé par la dollarisation, raison pour laquelle les États-Unis ne peuvent jamais réellement accepter un monde multipolaire. Ils sont nécessairement contraints à l’unilatéralisme, obligés de voler leurs alliés parce que le Sud global n’est plus disposé à fonctionner comme colonie (rôle dorénavant entièrement endossé par l’Europe, le Japon et l’Australie). Les oligarchies qui gouvernent l’Occident sont les fruits de la financiarisation et fonctionnent exactement comme l’aristocratie de l’Ancien Régime. Nous avons donc besoin aujourd’hui d’une nouvelle nuit du 4 août 1789, durant laquelle les privilèges de l’aristocratie féodale furent abolis.

Les États-Unis se retrouvent dans une impasse : ils sont contraints de relever les taux d’intérêt pour attirer les capitaux du monde entier, faute de quoi le système financier s’effondre ; mais cette même hausse des taux étrangle l’économie américaine. Quand ils les abaissent, comme ils l’ont fait maintenant pour des raisons électorales (durant la campagne, les démocrates ont été accusés d’étouffer l’économie), seuls les spéculateurs (au premier rang les fonds d’investissement) qui parient sur leur évolution en profitent. De même que la grande quantité de liquidités mises à disposition de l’économie par les banques centrales n’a jamais ruisselé vers la production réelle, car elle s’est arrêtée dans le secteur financier, cette baisse des taux n’aura aucune influence sur l’économie réelle, mais n’activera que la spéculation en son sein. Les États-Unis sont incapables de sortir du cercle vicieux de la rente, si bien que la guerre est la seule solution. Dès 2008, il était clair que l’économie américaine reposait sur la production et la distribution de rentes financières. D’où la volonté de poursuivre et d’étendre la guerre, de continuer à financer et à légitimer le génocide, de porter partout de nouveaux fascismes au pouvoir. Le proche avenir nécessitera davantage encore de tout cela, comme le confirme un document apparu au Congrès américain en juillet de cette année, intitulé Commission on the National Defense Strategy, qui affirme sans ambiguïté que les États-Unis doivent se préparer à la « grande guerre » contre le Sud global, au centre de laquelle se trouvent la Russie et la Chine. Dans les années à venir, chaque secteur de la société doit être mobilisé, sur le modèle de ce qui s’est fait avant et pendant la Seconde Guerre mondiale, afin d’éradiquer la menace qui pèse sur son existence, « les plus graves et les plus difficiles que la nation ait rencontrées depuis 1945 ». [2]

Le premier objectif, toutefois, est de transformer sa base industrielle (qui n’existe plus) en industrie de guerre :

« La Commission constate que la base industrielle de défense (DIB) des États-Unis est incapable de répondre aux besoins en équipements, technologies et munitions des États-Unis et de leurs alliés et partenaires. Un conflit prolongé, surtout sur de multiples théâtres, exigerait une capacité bien plus grande de production, de maintenance et de reconstitution des armes et des munitions. Combler ce déficit nécessitera des investissements accrus, des capacités supplémentaires de fabrication et de développement, une coproduction conjointe avec les alliés et une flexibilité supplémentaire dans les systèmes d’acquisition. Cela requiert un partenariat avec une base industrielle qui inclut non seulement les grands fabricants de défense traditionnels, mais aussi de nouveaux entrants et un large éventail d’entreprises impliquées dans la production de sous-ensembles, la cybersécurité et les services habilitants. » [3]

L’État et ses administrations doivent être coordonnés dans le sens de ce que les auteurs appellent la « dissuasion intégrée ». [4] Une attention particulière doit être accordée à la main-d’œuvre afin de la requalifier pour une économie de guerre ; ceci, après son démantèlement par la financiarisation et le démantèlement subséquent de l’industrie. Les différents départements de l’État doivent se coordonner en préparation de la guerre, notamment le Département d’État et l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), les départements économiques (dont le Trésor, le Commerce et la Small Business Administration), et ceux qui soutiennent le développement d’une large part d’une main-d’œuvre américaine plus forte et mieux préparée, comme les départements du Travail et de l’Éducation. Comme lors de la guerre froide, ces départements et agences doivent concentrer stratégiquement leurs efforts sur la compétition, désormais en particulier avec la Chine.

Conformément aux préceptes de la rente et de l’oligarchie, les grands investissements nécessaires doivent être privés, afin d’inonder les monopoles de milliards de dollars. Il est clairement question d’un « appel aux armes » bipartisan des démocrates et des républicains qui doivent éduquer un public inconscient du danger mortel dans lequel il se trouve et le préparer à supporter les coûts d’une guerre mondiale (on cite l’énorme pourcentage du PIB investi dans les armes durant la guerre froide) :

« Le public américain n’a que peu conscience des dangers auxquels les États-Unis sont confrontés ni des coûts (financiers et autres) nécessaires pour s’y préparer adéquatement. Il ne mesure pas la force de la Chine et de ses partenariats ni les conséquences pour la vie quotidienne si un conflit éclatait. Il n’anticipe pas les perturbations de son électricité, de son eau, ni l’accès à l’ensemble des biens dont il dépend. Il n’a pas intériorisé les coûts et les conséquences possibles de la perte par les États-Unis de leur position de superpuissance mondiale. Un appel aux armes bipartisan est urgent, pour que les États-Unis puissent opérer dès maintenant les grands changements et investissements significatifs, plutôt que d’attendre le prochain Pearl Harbor ou le 11 septembre. Le soutien et la détermination du public américain sont indispensables. » [5]

Comme l’aurait dit Ernst Jünger, ils préparent la « mobilisation totale ». Ils ont cependant un petit problème, car l’économie et la richesse qu’ils ont imposée sont pour les quelques-uns, tandis que les nombreux ont été appauvris, marginalisés, précarisés et ensuite blâmés, comme s’ils étaient responsables de leur condition. À présent, ils semblent réaliser qu’ils ont besoin des nombreux, qu’une main-d’œuvre « forte et préparée » est nécessaire pour défendre la nation et l’esprit national — l’économie et la propriété des tout-petits. Dans un pays plus divisé que jamais, il ne nous reste qu’à souhaiter bonne chance aux oligarchies qui promeuvent la mobilisation totale pour la guerre qu’elles veulent mener contre les trois quarts de l’humanité et qu’elles perdront aussi sûrement qu’elles sont en train de perdre au Moyen-Orient et en Europe de l’Est. Ce n’est qu’une question de temps.

Maurizio Lazzarato


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Message non luPosté: 27 Oct 2025, 20:04 
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SUSY ETALE SON SAVOIR , TU N'ES PAS LA BIENVENUE SUR MON SUJET

[b]ENCORE UN GROS BABA TRES LOIN DE LA GUERRE EN UKRAINE[/b]

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olga a écrit:
ARRETONS POUTINE IL EST ENCORE TEMPS


+1000

Poutine avec les trahisons de Trump nous mène droit vers une guerre.
Le meilleur moyen d'éviter la guerre est d'avoir une dissuasion suffisante.
Malheureusement nous avons affaire à deux malades mentaux, le 2eme étant instable.

Lire Mary L. Trump:
"Trop et jamais assez : comment ma famille a fabriqué l'homme le plus dangereux du monde"
Trump est un illuminé capable de mener le monde à sa destruction pour assouvir ses fantasmes.

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https://news.gallup.com/poll/693203/ukrainian-support-war-effort-collapses.aspx

Un article de l'institu Gallup qui est bien sur le porte parole du kremlin





7 août 2025
Le soutien ukrainien à l'effort de guerre s'effondre

Le public craint sur Washington, perd espoir d'une rapide adhésion à l'OTAN
par Benedict Vigers

LONDRES – La plupart des Ukrainiens sont maintenant favorables à la fin de la guerre avec la Russie par le biais de négociations, alors que le soutien aux combats jusqu’à ce que la victoire ait fortement chuté depuis les débuts du conflit. Bien que leurs espoirs d'adhésion à l'OTAN et à l'Union européenne se soient estompés et que l'approbation de la direction américaine ait chuté, les Ukrainiens considèrent toujours l'UE, le Royaume-Uni et les États-Unis comme la clé pour mettre fin à la guerre. Pourtant, la plupart des doutes seront que cela se produira de sitôt.

Plus de trois ans après la guerre, le soutien des Ukrainiens à continuer à se battre jusqu’à ce que la victoire ait atteint un nouveau plus bas. Dans le dernier sondage de Gallup sur l’Ukraine – réalisé début juillet – 69% disent privilégier une fin négociée à la guerre dès que possible, contre 24% qui soutiennent la poursuite de la lutte jusqu’à la victoire.

Cela marque un renversement presque complet de l'opinion publique en 2022, lorsque 73% ont favorisé les combats de l'Ukraine jusqu'à la victoire et 22% ont préféré que l'Ukraine cherche une fin négociée dès que possible.

Le soutien à l'effort de guerre a diminué régulièrement dans tous les segments de la population ukrainienne, indépendamment de la région ou du groupe démographique. Ce changement intervient alors que les efforts diplomatiques gagnent une nouvelle traction. Le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy a signalé sa disponibilité à des pourparlers directs avec le président russe Vladimir Poutine, proposant des négociations renouvelées, tandis que les États-Unis. Le président Donald Trump tente de faire pression sur le Kremlin avec la menace de sanctions.

Malgré ces mesures, le conflit se poursuit en grande partie sans relâche. Les attaques quotidiennes de missiles et de drones persistent, et les combats restent intenses le long de plusieurs sections de la ligne de front.
Fin durable des combats actifs qui ne devraient pas arriver bientôt

Bien qu'une nette majorité d'Ukrainiens privilégient maintenant une fin négociée de la guerre dès que possible, la plupart sont sceptiques quant au fait que les combats actifs prendront bientôt fin. Un sur quatre (25%) pense qu’il est probable que les combats actifs prendront fin dans les 12 prochains mois, bien que seulement 5% le considèrent comme «très probable». Plus des deux tiers (68%) pensent qu'il est peu probable que les combats actifs prennent fin au cours de la prochaine année.
Les Ukrainiens Sour sur Washington mais voient un rôle pour les États-Unis dans les négociations de paix

Les points de vue des Ukrainiens sur leur allié militaire le plus important ont changé de manière décisive depuis les premiers mois de la guerre. En 2025, 16% des Ukrainiens approuvent le leadership américain, tandis que 73% expriment leur désapprobation, un niveau record. Toute la bonne volonté que Washington a accumulée en 2022, lorsque 66% ont approuvé le leadership américain, s'est évaporée.

Les tensions entre Kyiv et Washington ont augmenté en 2025 après le retour de Trump au pouvoir. Une rencontre tendue entre Trump et Zelenskyy dans le bureau ovale fin février a coïncidé avec des pauses temporaires dans l'assistance militaire américaine.

En revanche, les perceptions de l'Allemagne se sont nettement améliorées cette année. L’approbation par les dirigeants de Berlin a atteint un niveau record de 63%, malgré la position plus prudente de l’Allemagne dans les premiers mois de la guerre. L'approbation de la Russie reste négligeable (1%), tandis que la Chine continue de recevoir de faibles notes (8%), comme elle l'a fait depuis le début de la guerre.

Malgré une forte désapprobation de la direction des États-Unis, la plupart des Ukrainiens considèrent toujours Washington comme ayant un rôle significatif à jouer dans la résolution du conflit. Soixante-dix pour cent pensent que les États-Unis devraient jouer «un rôle important» dans les pourparlers de paix, conformément aux points de vue sur les pays de l’UE (75%) et le Royaume-Uni. (71%). Bien que certaines négociations aient récemment eu lieu à Türkiye, 55% des Ukrainiens soutiennent son implication importante, notamment inférieure au soutien à l'UE, au Royaume-Uni et aux États-Unis.
Espoirs d'une entrée rapide à l'OTAN et à la disparition de l'UE

L’Ukraine a longtemps exprimé le désir de rejoindre l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord, qui est considérée par beaucoup comme cruciale pour la sécurité à long terme du pays. Au cours des deux premières années de la guerre, les espoirs étaient grands pour une adhésion rapide à l'OTAN, lorsque des majorités claires (64% en 2022 et 69% en 2023) s'attendaient à ce que l'Ukraine soit acceptée dans la prochaine décennie.

Les espoirs d'une adhésion rapide à l'OTAN sont tombés à 51% l'an dernier et ont poursuivi une tendance à la baisse, atteignant 32% en 2025, soit deux fois moins haut qu'en 2022. Pendant ce temps, le pourcentage qui croit que l'Ukraine ne sera jamais acceptée dans l'OTAN a bondi à 33%, conformément au pourcentage qui s'attend à adhérer dans les 10 prochaines années.

Les espoirs d'un avenir au sein de l'UE n'ont pas autant baissé qu'ils l'ont fait pour l'OTAN, mais sont toujours atténués par rapport à plus tôt dans la guerre. Une mince majorité d'adultes ukrainiens (52%) s'attendent à ce que l'Ukraine soit acceptée dans l'UE au cours de la prochaine décennie, contre 61% l'année dernière et 73% en 2022 et 2023.
Ligne de fond

Alors que la plupart des Ukrainiens sont prêts à voir les combats se terminer, peu s'attendent à ce que cela se produise bientôt. Les Ukrainiens voient des rôles clés pour l'UE, le Royaume-Uni et les États-Unis à jouer pour mettre fin à la guerre, même si l'approbation publique de Washington a cratéré.

Cette année a également connu un autre changement décisif dans l'espoir d'une adhésion rapide à l'OTAN, avec 32% qui s'attendent maintenant à être acceptés dans la prochaine décennie. Alors que les efforts diplomatiques s’éternisent, l’avenir de l’effort de guerre de l’Ukraine et ses relations avec la communauté internationale restent profondément incertains.

Restez à jour avec les dernières idées en suivant @Gallup sur X et sur Instagram.

Pour une méthodologie complète et des dates d'enquête spécifiques, veuillez consulter les détails de l'ensemble de données de Gallup. En savoir plus sur le fonctionnement du Gallup World Poll.



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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 29 Oct 2025, 18:55 
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SUSY DEGAGE DE MON SUJET ADORATRICE DE POUTINE

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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 29 Oct 2025, 19:13 
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Institut Jacques Delors
Vladimir Poutine ne veut pas de la paix en Ukraine


https://www.google.com/url?sa=t&source= ... OLCAOw30bB


[u]Vladimir Poutine ne veut pas de la paix en Ukraine, même aux conditions très favorables pour la Russie que Donald Trump est prêt à imposer aux Ukrainiens et aux Européens. Depuis plusieurs semaines déjà, cet état de fait est devenu clair pour à peu près tous les observateurs, sauf semble-t-il pour Donald Trump lui-même qui continue jusque-là de se comporter comme si Vladimir Poutine était de bonne foi.
[/u]

Comment expliquer que le président russe refuse de saisir la main tendue par un Président américain pourtant prêt, avant même toute négociation, à reconnaitre la souveraineté russe sur les territoires conquis et à empêcher l’Ukraine de rejoindre l’OTAN tout en se lavant largement les mains de[b] son sort futur ? Il y a à ce comportement a priori surprenant plusieurs explications qui convergent.
1 Vladimir Poutine veut surtout la biélorussisation de l’Ukraine[/b]


Tout d’abord, Vladimir Poutine n’est pas vraiment intéressé par le Donbass et Louhansk. Ce sont désormais des régions dévastées dont les infrastructures sont en ruine comme le montre la pénurie d’eau potable qui y sévit actuellement. Leur économie était dominée par l’exploitation du charbon et par des industries lourdes largement obsolètes qui ne seront pas d’un grand apport pour le futur de la Russie.

[b][i]La continuité territoriale avec la Crimée et le contrôle total de la mer d’Azov sont en revanche des acquis de poids pour l’impérialisme russe. Ces gains restent malgré tout secondaires vis-à-vis du but de guerre central de Vladimir Poutine : réussir à contrôler l’Ukraine dans son ensemble pour en faire une autre Biélorussie et la réintégrer dans la sphère d’influence russe sans avoir forcément besoin de l’occuper militairement en totalité. Une Ukraine démocratique, membre de l’Union Européenne, se développant économiquement rapidement à l’instar de la Pologne, resterait à ses yeux, même amputée d’une partie significative de son territoire, une menace trop dangereuse pour son régime autocratique et kleptocratique.[/i][/b]
2 Il surestime les capacités russes et sa position de force

Dans un régime autocratique comme celui de Poutine, informer honnêtement les dirigeants se révèle souvent dangereux. Malgré les graves revers subis depuis plus de trois ans par ses armées, les centaines de milliers de soldats morts et estropiés et les milliers de chars détruits, flatté par les courtisans qui l’entourent et désinformé par les rapports mensongers de ses généraux, qui sous-estiment systématiquement les pertes et enjolivent tout aussi systématiquement les succès, Vladimir Poutine croit probablement toujours que l’armée russe est à la veille de l’emporter militairement sur le terrain et que les forces Ukrainiennes vont s’effondrer prochainement s’il maintient la pression. La même chose vaut pour l’état de l’économie russe dont les responsables cherchent certainement à lui cacher autant que possible l’état de décrépitude et l’effet significatif des sanctions occidentales. Vladimir Poutine a donc structurellement tendance à se croire en meilleure position qu’il ne l’est effectivement.
3 La paix mettrait son régime en danger

Depuis 2022, le président russe a réorienté toute l’économie de la Russie vers la guerre et tout son discours politique vers la conquête impériale. Dans un tel contexte, la paix en Ukraine serait un facteur de déstabilisation majeur pour son pouvoir du fait de ses conséquences pour l’économie et la population. Les soldes des combattants en Ukraine sont sans commune mesure avec les salaires pratiqués en Russie. Elles permettent ainsi de modérer les conséquences économiques de la guerre sur les populations les plus précaires, en particulier dans des régions pauvres du pays. Le retour de la paix mettrait par ailleurs en évidence l’ampleur du délabrement de l’économie civile russe et les effets massifs du manque d’investissements accumulé depuis 2022 dans l’entretien des infrastructures de base du pays. Elle susciterait également de graves tensions sociales et politiques avec le retour à la vie civile de centaines de milliers de vétérans démobilisés. Une grande partie d’entre eux sont alcooliques ou drogués et souvent porteurs non traités de maladies transmissibles comme le SIDA, l’hépatite C ou la tuberculose. Ils ont vécu l’horreur au front et l’absence totale de tout sens moral et de tout état de droit au sein de l’armée russe. Les récits concernant le traitement des soldats russes par leurs officiers sont effrayants. La réintégration de ces vétérans au sein de la société russe, avec son cortège de violences, serait inévitablement une épreuve bien plus difficile à surmonter encore que ne l’avait été le retour des soldats du Vietnam pour la société américaine. Ils n’aideront guère la société russe à surmonter son manque de plus en plus criant de main d’œuvre qualifiée. Sur tous ces plans, Vladimir Poutine a donc intérêt à la poursuite de la guerre quels qu’en soient les résultats militaires.
4 La Chine ne veut pas de pax americana en Ukraine

Enfin, last but not least, malgré tous les cadeaux que Donald Trump est prêt à lui faire, Vladimir Poutine ne peut pas se permettre de lui donner l’opportunité d’apparaître comme celui qui a stoppé la guerre en Ukraine et qui pourrait pour cela mériter le Prix Nobel de la Paix.

Avec cette guerre, la Russie est devenue en effet très dépendante de la Chine pour la plupart de ses approvisionnements essentiels comme pour la vente de son gaz et de son pétrole. Affaiblie par la guerre, elle est en voie de vassalisation avancée vis-à-vis de Pékin malgré son statut de puissance nucléaire et les rêves de grandeur impériale de son président. Or dans le contexte de la rivalité sino-américaine, Xi Jinping ne peut tolérer ni un rapprochement réel et durable entre la Russie et les États-Unis ni un renforcement de Trump sur la scène internationale. Il souhaite également probablement maintenir durablement un abcès de fixation pour les Occidentaux en Europe qui les empêche de concentrer leurs forces pour contenir la Chine en Asie. Même si Poutine voulait faire la paix en Ukraine sous l’égide de Trump, ce qui pour les raisons évoquées précédemment n’est probablement pas le cas, il ne le pourrait donc sans doute pas parce que Xi Jinping l’en empêcherait.

Bref, pour toutes ces raisons, il n’y a guère qu’une défaite militaire sur le terrain et le renforcement des sanctions économiques contre la Russie qui puisse finir par amener Vladimir Poutine à accepter de cesser les combats en Ukraine.

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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 01 Nov 2025, 16:29 
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NON A TOUTES LES GUERRES DU KAPITAL

Tu as vu j' ai mis un K a capital! La preuve flagrante que je suis un troll des russes!
Tu sais ma chere OLga que ton pseudo est quand meme un prenom tres utilisé par : Les RUSSES"
Allez ma petite Oliacha ne tant fait pas tu l'auras ta guerre . En attendant comme le disait James Bond :" bon baisser de Russie.."..OH merde alors . Je me suis trahieE


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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 01 Nov 2025, 17:20 
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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
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Sainte OLga de Kiev Wikipédia

https://www.google.com/url?sa=t&source= ... DI3yK8J7_p

Olga de Kiev (890? - 969), ou sainte Olga, épouse du grand-prince Igor Ier de Kiev et grand-mère de Vladimir Ier, est la régente de la Rus' de Kiev à partir de 945.
Première femme à diriger la Rus' de Kiev, elle réforme la collecte des tributs et renégocie avantageusement le traité signé en 944 par son mari Igor Ier avec l'Empire byzantin[1].
Elle est la première dirigeante de la Rus' de Kiev à se convertir au christianisme[2], étape primordiale dans la conversion de son peuple en 988, lors du règne de son petit-fils Vladimir Ier. De ce fait, elle est considérée comme sainte égale-aux-apôtres par l'Église orthodoxe[3]


Sainte OLGA est ukrainienne pas russe

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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 02 Nov 2025, 08:53 
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_de_la_princesse_Olga


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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 02 Nov 2025, 18:55 
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NON A TOUTES LES GUERRE DU KAPITAL


https://www.kyivpost.com/post/38217

encore un journal ukrainien qui transmet les mensonges de Poutine , c'est incroyable , meme les officiers fascistes d'azov mentent et relai les mensonges de Poutine... j'y crois pas!


La situation en première ligne dans la région de Donetsk est devenue hors de contrôle, selon Roman Ponomarenko, un officier de la 12e brigade à usage spécial, « Azov », de la Garde nationale ukrainienne.

"Pendant longtemps, la situation dans le Donbass a été correctement décrite comme "difficile, mais contrôlée", a écrit Ponomarenko sur Telegram. « Cependant, maintenant, c’est hors de contrôle. Actuellement, on dirait que notre front dans le Donbass s’est effondré. »
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Il a déclaré que la défense des Forces armées ukrainiennes (AFU) est désorganisée, avec des troupes épuisées, affaiblies et de nombreuses unités démoralisées.

« Les renforts que nous recevons sont pour la plupart « chargés » (un terme d’argot pour ceux qui ont été mobilisés de force, signifiant littéralement qu’ils ont été « pris », mis dans un bus et recrutés dans l’armée), a écrit Ponomarenko. « Cela n’aide pas; en fait, cela complique les opérations de combat des unités. »
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Il a ajouté que les forces russes n'avancent pas plus profondément seulement parce qu'elles sont aussi épuisées que les troupes ukrainiennes. Malgré cela, Ponomarenko a déclaré que les Russes conservaient un avantage numérique significatif et disposaient d'approvisionnements en munitions pratiquement illimités.

« Leur offensive continue, et nous ne pouvons pas l’arrêter pour le moment. Et l'opération de l'AFU dans la région de Koursk n'en est pas la raison", a-t-il déclaré.

"J'ai des doutes sur le fait que notre commandement a un plan global pour tout cela", a ajouté l'officier.
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La branche de combat la plus meurtrière de l’armée ukrainienne – les Forces des systèmes sans pilote – prévoit de doubler de taille. Les efforts de recrutement visent même les blessés et les soldats d’AWOL.

À son avis, les contre-attaques dans d'autres parties du front peuvent donner des résultats, mais elles ne seront significatives que si l'avant dans le Donbass tient.

Ponomarenko a également déclaré qu’il était nécessaire de prendre des mesures plus efficaces pour améliorer la discipline dans l’armée, avertissant que « la situation est à la limite et que les renforts mobilisés de force ne font qu’exacerber ».

La défenseuse et ambulancière ukrainienne Kateryna Polishchuk, connue sous le signe d’appel «Ptashka», ou «Birdie» a également commenté la situation désastreuse sur la ligne de front de Pokrovsk dans un message Facebook.
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« Dans le secteur de Pokrovsk, c’est un plein comme a*s. Pas d'exagération. Alors que tout le monde encourage Koursk, Pokrovsk a encore quelques semaines", a-t-elle écrit.

Elle a déclaré que les villes où elle avait pris un café il y a tout juste un mois sont maintenant occupées, et les drones First Person View (FPV) ciblent déjà la ville où elle vivait depuis deux semaines.

« Tous les villages sûrs où je me suis reposé après que les positions soient maintenant occupées. L'arrière profond, où j'ai ravitaillé la voiture et soigné les blessés, est maintenant la ligne de front ", a rapporté Polishchuk.

« Et je ne donne pas un s**t sur le commandement, leurs ambitions, leurs étoiles et leurs intérêts. Les gars ont besoin d'aide... Je ne peux pas laisser un autre Marioupol se produire", a-t-elle ajouté. « Je ne peux pas laisser des centaines de mes amis mourir à cause de quelques bien-êtres carriéristes de haut rang. »

Les forces russes n'ont cessé d'avancer vers Pokrovsk et prétendent fréquemment avoir pris le contrôle des villages voisins.

Des chars et de l'infanterie russes, soutenus par l'artillerie lourde et les frappes aériennes, ont capturé une colonie clé et ont gagné un nouveau terrain dans le secteur du Donbass oriental, mardi 27 août, selon des rapports de terrain et de médias.
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Les troupes ukrainiennes, confrontées à un désavantage de puissance de feu de 4 contre 1, auraient été largement retirées de Novohrodivka, une ville de taille d'une population d'avant-guerre de 14.000 personnes, après trois jours d'intenses combats urbains contre les forces du Kremlin. Malgré cela, mercredi matin, l'armée ukrainienne n'avait pas officiellement confirmé la perte.

Bien que le contrôle russe total de Novohrodivka n'ait pas pu être entièrement vérifié par des sources indépendantes, il était clair que les forces du Kremlin avaient avancé de 2 km (1,2 miles) ces derniers jours, poussant profondément dans les défenses ukrainiennes, qui avaient du mal à tenir leurs positions, selon les analystes.

Certains blogueurs ukrainiens, sans fournir de preuves, ont affirmé que les troupes de Kyiv avaient évacué Novohrodivka dans la panique, abandonnant les armes et fuyant dans le désarroi. Cependant, le rapport de l'ISW a suggéré qu'au moins certaines forces ukrainiennes s'étaient retirées de manière organisée.

Mercredi, certains médias ukrainiens ont critiqué l'AFU pour avoir perdu la ville en seulement 72 heures, la contrastant avec la résistance amère observée dans des villes comme Avdiivka et Bakhmout, où les forces du Kremlin ont pris des mois et ont subi des milliers de victimes pour réaliser des gains similaires.

Dans un éditorial publié mercredi, le journaliste militaire ukrainien Iouriï Butoussov a mis en garde contre un effondrement potentiel des défenses ukrainiennes, déclarant: «La situation dans le secteur de Pokrovsk n'est plus critique; elle est déjà catastrophique. Malgré la promesse de Zelensky, aucune fortification substantielle n’y a été construite. Maintenant, il y a une perte complète de contrôle aux niveaux opérationnel et tactique. »
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S'adressant aux journalistes par liaison vidéo, le commandant de l'armée ukrainienne Oleksandr Syrsky a rapporté que le renseignement militaire estime que le Kremlin prévoit de concentrer 50.000 à 60.000 soldats pour son offensive du Donbass. Il a également déclaré qu'environ un engagement de combat sur trois le long de l'ensemble du front de la guerre russo-ukrainienne se déroule dans le secteur de Pokrovsk.

Syrsky a décrit la situation dans le secteur du Donbass comme « extrêmement difficile ».


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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 03 Nov 2025, 18:54 
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SUSY TU ES UN OISEAU DE MAUVAIS AUGURE TU RESEMBLE BIEN A TON MAITRE POUTINE

TU TE DELECTE DU MALHEUR DE L'UKRAINE AGRESSEE PAR POUTINE

JE NE SAIS PAS QUEL DELICE TU TROUVE A FAIRE CELA

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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 04 Nov 2025, 17:22 
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Ma chere Olga, je ne me délecte de rien du tout, juste peut etre du chocolat aux ecorce d'orange.
Mais dans le cas présent , je me borne a donner des infos issus d'Ukraine., Je ne rédige pas ces articles, ce sont des journaliste ukrainien qui les rédigent. Maintenant que ces infos ne te conviennent pas est un autre probleme!


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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 04 Nov 2025, 18:51 
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Meme l'UE reprend la rhetorique des russes, tous des vendu a Bruxelles.....





https://strana.news/news/494295-es-priz ... nnykh.html





L'UE est préoccupée par les violations des droits des prisonniers en Ukraine et appelle à des réformes
16:08, Aujourd'hui
Violence contre un prisonnier dans une prison. Capture d'écran

De nombreuses violations des droits des détenus et des prisonniers continuent d'être commises en Ukraine, la torture et les mauvais traitements demeurent un sujet de grave préoccupation.

Cela est indiqué dans le rapport de la Commission européenne sur les progrès accomplis par l’Ukraine dans les réformes nécessaires à l’adhésion à l’UE, publiés aujourd’hui.

En particulier, le document fait référence aux arrestations illégales, à la durée excessive de la détention, à la violation du droit à la vie, aux cas de torture et de mauvais traitements infligés à la police, aux mauvaises conditions de détention, à l'insuffisance de l'aide médicale, à l'absence excessive de procès et à l'absence de recours effectifs.

Sous la supervision du Conseil de l'Europe, il y a 694 affaires contre l'Ukraine liées à la détention dans les prisons, à la détention provisoire et aux colonies.

Le Parti européen a appelé l'Ukraine à éliminer les problèmes systémiques et structurels qui sous-tendent ces violations et à assurer l'exécution en temps opportun des décisions de la Cour européenne des droits de l'homme. Entre autres, le système de surveillance devrait être réformé, diviser clairement les fonctions de la détention et de l'application de la loi afin d'éliminer les pressions exercées sur les détenus; mettre en place des mesures efficaces pour prévenir la torture; améliorer l'accès des prisonniers aux soins médicaux et porter les conditions de détention aux normes européennes.

Plus tôt, nous avons signalé que les autorités ukrainiennes essayaient de réaliser des extraditions massives en provenance d'Europe dans diverses affaires criminelles. Toutefois, l'extradé en Ukraine peut être en danger en raison des conditions de détention dans les prisons.

Nous avons également écrit à plusieurs reprises sur les mauvais traitements infligés aux prisonniers et la torture dans les prisons ukrainiennes.
Abonnez-vous à la chaîne télégramme Politique du pays pour recevoir des analyses claires, compréhensibles et rapides sur les événements politiques en Ukraine.


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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 04 Nov 2025, 19:50 
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C'est un article BIDON, où l'on mélange de soi-disant décisions de Bruxelles sur les prisoniers de droits communs, des demandes du parti européen (c'est qui ce parti fantôme???) et des auteurs de l'article.
h
C'EST BIEN PIRE EN RUSSIE

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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 04 Nov 2025, 19:59 
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TORTURE DES PRISONNIERS UKRAINIENS PAR LES RUSSES

Radio France
https://www.google.com/url?sa=t&source= ... KVO6W6oBbt
Depuis le début de la guerre en Ukraine, des milliers de militaires ukrainiens ont été faits prisonniers sur le front. Entretien avec deux d'entre eux, libérés cette année.

"En été, il faisait chaud. En hiver, il faisait froid. Cette prison était vétuste. Trois repas par jour, mais bon, même les enfants mangent plus que ça. Et puis surtout, des jours entiers debout. Il était interdit de s'asseoir : de 6h du matin à 22h, debout. On ne pouvait s'asseoir que pendant le repas, sinon ils te frappaient le matin, le soir. Oui, debout, dans sa cellule, sans rien faire, juste debout." C'est Dmitro qui témoigne ainsi. Il a 26 ans et a été capturé à Marioupol en mai 2022 avec plusieurs centaines de camarades. Très vite, Dmitro a été transféré dans une prison située dans le sud de la Russie.
Il ajoute : "La première semaine, c'était très dur. Après, je me suis habitué. J'avais vraiment les jambes grosses comme ça, toutes gonflées. Et aujourd'hui, j'ai besoin d'un traitement contre les varices". Dans cette prison russe, raconte Dmitro, "la violence des gardiens était quotidienne. Ils utilisaient des matraques, des tasers, des chiens d'attaque. Moi, par exemple, ils m'interrogeaient deux fois par semaine. Ils voulaient montrer qu'ils travaillaient, mais en fait, ils te demandaient n'importe quoi. Ils cherchaient des questions de culture générale sur Internet, et si tu ne répondais pas, ils te frappaient."
Violences et interrogatoires sans fin, sans queue ni tête
Des séances de torture sans raison que notre deuxième témoin a également expérimenté. Lui s'appelle Sergui, il a 42 ans. Il a aussi été fait prisonnier dans la ville de Marioupol avant d'être conduit en prison en Russie. "Ils nous humiliaient moralement et physiquement. Face contre le mur, jambes et bras écartés, les yeux bandés, ils te demandaient 'Ca veut dire quoi F.A.U. ?' Tu répondais en ukrainien 'force armée ukrainienne'. Et là, ils te frappaient dans le dos en criant 'parle russe'. Pour chaque mot en ukrainien, ils frappaient très fort, les reins, les testicules, les jambes, la nuque, très violemment."

Des interrogatoires sans fin, sans queue ni tête, pour des soldats comme Sergui qui n'ont aucune information à révéler. "C'était absurde", se rappelle-t-il aujourd'hui.
Mais il y a pire que cela, comme cet épisode que Sergui peine à nous raconter. "Un jour, on nous a ramené à Marioupol, on nous a donné des pelles et des sacs pour aller exhumer des corps de civils que leurs proches n'avaient pas pu enterrer normalement pendant les bombardements. Et à un moment, on a déterré le corps d'une petite fille de 5 ans avec un grand nounours blanc, et ça s'est gravé en moi à vie".
Revenir vivant pour sa famille
Quand on entend ces témoignages, on se demande comment ces hommes ont pu tenir pendant ces longs mois de détention. Une réponse, la même pour les deux : la famille. Revenir vivant pour sa famille, Sergui a pensé à sa femme, Dmitro à sa mère. "Tous les jours, je me levais et je parlais, comme un fou. Je disais, voilà maman, cette nuit j'ai rêvé de ça et de ça. Je racontais tout à ma mère, ça me faisait du bien. Et puis quand j'ai été libéré, ma mère m'a dit, moi aussi je parlais avec toi."

D'après un rapport des Nations unies, 95% des soldats ukrainiens ont été torturés lors de leur passage dans les prisons russes.

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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 04 Nov 2025, 20:12 
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LA TORTURE RUSSE PAR HUMAN RIGHT WACHT

https://www.google.com/url?sa=t&source= ... 6jtrtIrXXR

Torture en Russie: Cet Enfer Créé par l'Homme
https://www.google.com/url?sa=t&source= ... zzBGlm6_6B

UN extrait de l'article Lire l'article en entier
II. Types de torture et de mauvais traitements: les circonstances et les méthodes


Tous les stades de la détention de la garde à vue à l'incarcération après condamnation sont marqués par des actes de torture et de mauvais traitements, lesquels constituent également un aspect caractéristique de la vie dans l'armée russe. C'est toutefois en garde à vue ou en détention préventive qu'ont été signalés les cas de torture les plus fréquents, lorsque les victimes sont détenues dans des postes de police ou tout autre type de centre de détention, y compris les "centres de tri" utilisés lors du conflit en Tchétchénie. L'objectif principal semble être d'intimider les détenus et d'obtenir d'eux des "aveux" l'aveu continuant de jouer un rôle prépondérant dans le système pénal russe.

La torture est souvent utilisée au moment de l'interpellation d'une personne, immédia-tement après son arrestation, ou lors de l'interrogatoire initial, lorsque les policiers s'efforcent de contraindre les suspects à leur fournir des informations relatives à eux-mêmes ou à d'autres personnes, ou bien à reconnaître des infractions présumées. Par ailleurs, la torture est souvent pratiquée au cours de l'enquête judiciaire, après l'incul-pation du suspect, dans le but d'arracher à celui-ci des "aveux" ou d'obtenir des "éléments de preuve" suffisants pour engager une procédure et permettre la tenue d'un procès. La torture peut être utilisée pendant toute la durée de la détention préven-tive, laquelle est susceptible de s'étendre sur plusieurs mois, voire plusieurs années avant que le détenu soit jugé ou bien libéré sans inculpation.

La torture et les mauvais traitements sont également des pratiques courantes dans les institutions pénales où les prisonniers sont transférés après avoir été jugés et condam-nés par un tribunal. Des prisonniers ont été torturés soit par des fonctionnaires de l'administration pénitentiaire, soit par d'autres prisonniers agissant sur ordre des autorités pénitentiaires. En outre, les conditions de détention régnant dans ces établi-ssements s'apparentent à des mauvais traitements.

Les victimes de tortures et de mauvais traitements sont issues de toutes les couches de la société russe. Toutefois, les personnes les plus exposées sont celles n'ayant reçu qu'une instruction limitée ou celles qui sont les plus défavorisées économiquement comme, par exemple, les minorités ethniques (notamment celles originaires du Caucase), les chômeurs, les vagabonds, les ouvriers et les paysans, les femmes, les adolescents et même, dans certains cas, les handicapés.

Dans l'armée russe, la torture et les mauvais traitements se pratiquent sur une grande échelle. Ce sont généralement des soldats déjà chevronnés ou bien les officiers qui y ont recours. Le taux élevé de suicides constaté parmi les jeunes recrues est pour une large part attribué aux conditions de vie qui règnent dans l'armée, ainsi qu'à une utili-sation systématique de la torture.

Globalement, il semble que l'une des raisons expliquant la persistance du recours à la torture et aux mauvais traitements durant les années qui ont suivi l'éclatement de l'Union soviétique tient aux campagnes lancées par le gouvernement russe et par le président pour lutter contre la criminalité, campagnes dans lesquelles s'intègrent les décrets présidentiels dont il a été question plus haut.

Les tortures les plus couramment pratiquées en garde à vue sont les passages à tabac, les décharges électriques, ainsi que les méthodes dites de "l'éléphant", de "l'hi-rondelle" et de "l'enveloppe". En détention préventive et dans les colonies péni-tentiaires de redressement par le travail, les méthodes utilisées seraient celles connues sous le nom de "press camera" et de "crucifixion du Christ" (cf. les chapitres du rapport consacrés à ces méthodes et à la présentation de cas individuels).

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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 04 Nov 2025, 20:15 
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ARRETONS LE MONSTRE IL EST ENCORE TEMPS

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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 05 Nov 2025, 17:57 
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N[b]ON A TOUTES LES GUERRES[/b]



ET dans l'hexagone la guerre est la aussi avec ces memes tortures infligées par les chaussettes a clou du KAPITAL, le meme qu'en russie , en ukraine au usa bref le probleme n'est pas specifique a un pays ou a un autre, mais bien a la volonté des dominants de nous ramener au stade de viande a canon



https://contre-attaque.net/2025/11/05/s ... t%c2%b7es/



[b]
[[size=150]b][size=150]
Sainte-Soline : les preuves d’une volonté de massacrer les manifestant·es
5 novembre 2025Gouvernement, Guerre, Violences policières
«Je ne compte plus les mecs qu’on a éborgné ! Un vrai kiff !»

Les gendarmes en action pendant la bataille de Sainte-Soline : un massacre d'écologistes avec le sourire.

[/b][/size]

[b]
Les images dévoilées ce mercredi 5 novembre par Médiapart et Libération donnent envie de tout brûler, et confirment ce que toutes les personnes présentes à Sainte-Soline le 25 mars 2023 ont ressenti : la volonté de la part de l’État de tuer, de traumatiser, de briser mentalement et psychiquement tout une dynamique écologiste, au beau milieu d’un grand mouvement social pour les retraites.

Les deux médias ont eu accès aux caméras-piétons des gendarmes présents autour de la mégabassine contestée ce jour-là. Les militaires savent qu’ils sont filmés et enregistrés, et pourtant ils se lâchent. On peut entendre des dizaines d’insultes, d’appels à commettre des assassinats voire de propos ouvertement fascistes. Surtout, ces vidéos et ces échanges constituent des preuves accablantes de faits criminels relevant de la cour d’assises.

Parmi les échanges enregistrés, cette discussion entre deux gendarmes qui tirent des grenades vers la foule : «Je compte plus les mecs qu’on a éborgné !» Son collègue lui répond : «J’espère bien que t’en as éborgné !» Le premier crie de joie : «Un vrai kiff !»

On entend aussi de manière répétée des consignes données par les gradés, pour tuer ou mutiler des manifestants. Par exemple cet ordre : «Mets leur une GM2L dans la gueule». Une «GM2L» est une grenade explosive, potentiellement mortelle, contenant du C4. Ces armes de guerre peuvent arracher des membres et ont déjà pulvérisé des mains ou des pieds. Tirée à hauteur de visage, une telle grenade peut arracher une tête. D’autres officiers crient à leurs hommes : «En tendu, en tendu ! Baisse ton canon !» Un autre crie : «Bien joué, en pleine gueule». Un gendarme demande à ses collègues tireurs : «Encore plus bas, plus bas». Un chef exige : «Sur le groupe, devant, tendu ! Devant, tendu ! Vous balancez en tendu !» Un autre dit à un tireur : «En tendu, en tendu, baisse ton canon, putain dépêche-toi».

Ces ordres montrent une volonté délibérée de frapper les corps, dans une illégalité généralisée. L’arme qui envoie les munitions de maintien de l’ordre se nomme «lanceur Cougar», c’est une arme à feu, considérée comme du matériel de guerre, projetant des munitions de 56 millimètres de circonférence en plastique dur, à pleine vitesse, jusqu’à 200 mètres. Il est catégoriquement interdit d’utiliser ces «lanceurs» en tir tendu, au risque de tuer.

Les tirs doivent toujours se faire en cloche pour que les grenades aient le temps de se déclencher en l’air. Les lanceurs Cougar sont d’ailleurs spécifiquement coudés pour empêcher un usage illégal. Afin d’effectuer un tir tendu, les gendarmes doivent donc incliner ou retourner leur arme, c’est un geste nécessairement volontaire. À Sainte-Soline, la consigne de la hiérarchie a été d’utiliser systématiquement les armes de la manière la plus dangereuse et dévastatrice possible, en violation assumée de la loi et des règles internes à la gendarmerie.

Dans les enregistrements, les militaires traient aussi les manifestants de «rugbyman», d’«enculés», de «pue-la-pisse»… Ils se réjouissent d’avoir commis des dégâts irréversibles en temps réel : par exemple d’avoir frappé «en pleine tête». Ils rigolent de «faire mal», disent qu’il «faut les tuer».

En deux heures, autour d’un trou au milieu de la campagne, sans aucun enjeu matériel, aucun objectif de maintien de l’ordre, un dispositif de 3000 militaires, appuyés par des drones, des hélicoptères et des blindés, a ainsi tiré plus de 5000 grenades sur une foule de civil·es. Ce moment a été un sommet de lâcheté : les gendarmes sont lourdement protégés par leurs casques, leurs cuirasses et leurs boucliers. Ce jour-là, ils étaient aussi en surplomb, en rang sur des buttes de terre, et toujours à distance des manifestant·es qui n’ont jamais pu atteindre la bassine. Celle-ci était ceinturée par plusieurs rangées de grilles.

Il faut donc imaginer d’immenses lâches en uniforme, payés et lourdement équipés par l’État, qui déversent en ricanant un déluge de munitions mortelles alors qu’ils ne courent pas le moindre risque, sur des personnes qui défendent le bien commun.

La veille de la manifestation de Saint-Soline, Darmanin intervenait sur Cnews pour annoncer : «Les français vont voir des nouvelles images extrêmement violentes». Le ministre de l’Intérieur savait exactement ce qui était prévu le lendemain à Sainte-Soline : une partie de ball trap destinée à briser les réseaux écologistes et anticapitalistes, en plein mouvement social. Tout était prévu, scénarisé, du haut en bas de la chaîne de répression.

Dans les enregistrements du 25 mars 2023 qui viennent d’être rendus publics les militaire n’éprouvent pas le moindre remord, et disent même qu’ils ont adoré faire couler le sang. Un tireur dit à son collègue : «Celle-là, elle va leur claquer dans le nez regarde». Réponse : «bien», suivie d’une observation enthousiaste : «Il l’a prise dans les couilles».

Un gendarme nommé Eduardo multiplie les tirs criminels. On entend ses collègues enthousiastes : «Celle d’Edouardo là, il l’a mis en pleine tête», «Le tir d’Edouardo, il était magnifique […] c’est ce qu’ils auraient dû tous faire, comme ça tu peux identifier personne gros». Un autre se remémore : «On en reparle du tir tendu de tout à l’heure là, j’ai cru que le mec n’allait jamais se relever» !

Les criminels en uniforme jouissent de leur propre violence. Un gradé de l’escadron de Grenoble prend l’accent allemand et déclare : «À tous les pilotes de Panzer, en avant». Il mime un nazi, et il en est fier. Les militaires expriment leur plaisir après la boucherie : «C’est magnifique là», ou encore : «J’ai signé pour ça mec, j’ai attendu dix ans de gendarmerie pour vivre ça». Un autre se vante : «J’ai tiré 7 LBD, j’en ai couché au moins quatre des mecs».

Souvenez-vous, en mars 2023, tous les médias nous avaient fait croire que les gendarmes étaient «traumatisés» par «l’ultra-violence des manifestants», que certains étaient «gravement blessés». On avait entendu pendant des jours des mensonges à n’en plus finir sur ces pauvres agents exposés à des écologistes dangereux. Ils avaient tenté d’apitoyer la population et créé un récit totalement mensonger. La réalité, et les gendarmes le disent eux-mêmes, c’est qu’ils ont «kiffé».

Plus de deux ans ont passé depuis cette manifestation qui a traumatisé une génération de militant·es. Plus de 400 personnes ont été gravement blessées ce jour-là, deux avaient été placées dans le coma, et un grand nombre mutilées à vie. Plusieurs kilos de matière explosive ont labouré les champs, des cratères ont été creusés par les détonations, comme dans une scène de guerre.

Et malgré les preuves accablantes, les images, les témoignages et les enregistrements des gendarmes eux-mêmes, il ne s’est rien passé. L’Inspection Générale de la Gendarmerie Nationale – l’IGPN version gendarme – dit qu’elle n’a «identifié» aucun auteur de violence. Alors même qu’il suffit de relier les enregistrements vidéo au porteur de la caméra, que des noms sont cités et des donneurs d’ordre identifiés ! L’IGGN n’a même pas fait semblant d’enquêter : Mediapart explique qu’aucun gendarme n’a été interrogé sur le contenu des images. Et même que trois escadrons de gendarmerie ont refusé de donner leurs enregistrements aux enquêteurs, sans que cela ne provoque la moindre réaction.

Après cette manifestation Serge, qui était venu manifester, est resté plusieurs semaines dans le coma. Un tir tendu dans sa tête lui a fracturé la boite crânienne, provoquant des lésions irréversibles dans son cerveaux. Alors qu’il était entre la vie et la mort, les gendarmes ont empêché les secours de venir le prendre en charge. Il a frôlé le pire, et se bat toujours pour retrouver ses capacités.

Mickaël, visé par un tir de balle en caoutchouc dans le cou, a lui aussi été plongé dans le coma. Il aurait pu mourir suite à l’hématome cérébral provoqué par la munition. Alix a reçu une grenade en tir tendu dans la mâchoire, fracassant les os de son visage. La munition a ensuite explosé dans ses jambes.

Des dizaines d’autres personnes, qui ont préféré garder l’anonymat, ont reçu des tirs mutilants dans les yeux, les pommettes, le crane, des explosions dans les jambes ou les pieds, ont eu des tympans perforés par les détonations. Des milliers d’autres restent traumatisées.

Sainte-Soline a été la démonstration du fascisme déjà là : pendant deux heures, dans un champ, l’État français a ordonné à ses soudards de massacrer une marche écologistes. Et notre riposte se fait toujours attendre. Ces révélations, même si elles arrivent tard, mériteraient à elles seules provoquer un soulèvement.
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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 05 Nov 2025, 18:14 
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[quote="olga"][size=200][b]C'est un article BIDON, où l'on mélange de soi-disant décisions de Bruxelles sur les prisoniers de droits communs, des demandes du parti européen (c'est qui ce parti fantôme???) et des auteurs de l'article.
h
C'EST BIEN PIRE EN RUSSIE[/quote]



l'article a ete ecrit par des journaliste ukrainien....... regarde le lien..... si cet article est bidon; alors peut etre que tes sources d'informations sont egalement bidon ma chérie
[/size][/b]

a titre d'information le PPE est: le PPE (Parti populaire européen), S&D (Alliance progressiste des socialistes et démocrates), et Renew (Alliance des libéraux et démocrates pour l'Europe). donc bien entendu de grand amis de poutine ....

C'est meme le plmus grand groupe politique au sein du parlement europeen. 184 deputés sur 720


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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 05 Nov 2025, 20:47 
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LES EVENEMENTS QUI ONT LIEU EN FRANCE N'ONT PAS A ETRE COMMENTES SUR MON SUJET L'UKRAINE

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Arrêtons le monstre, rien n'est pire que le silence


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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 06 Nov 2025, 12:07 
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L’Ukraine mène une opération de déblocage et rétablit les routes d’approvisionnement de Myrnohrad

https://youtu.be/ci_sVXcG7Ek

Des développements critiques se déroulent dans la direction de Pokrovsk, où les forces ukrainiennes empêchent activement les tentatives russes d’encercler des villes clés. Des groupes de contre-attaque ukrainiens avancent sur plusieurs axes, frappant les formations d’assaut avant qu’elles ne puissent stabiliser leurs positions ou couper des routes vitales.

Cela a forcé le commandement russe à réaffecter continuellement du personnel, envoyant de nouvelles vagues de troupes pour compenser les pertes croissantes. Les officiers ont de nouveau assuré Moscou que l’encerclement était imminent, créant une pression pour avancer coûte que coûte, indépendamment de la préparation tactique.

En conséquence, les unités russes sont poussées dans des assauts mal coordonnés qui se désagrègent sous les frappes ukrainiennes de drones et d’artillerie. Malgré l’intensité des combats, les lignes de défense ukrainiennes restent intactes et les villes au cœur de cet affrontement restent fermement sous contrôle ukrainien.

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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 06 Nov 2025, 16:44 
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NON A TOUTES LES GUERRES DU KAPITAL



Ma chère Olga, je viens de prendre le temps de parcourir ton profil ainsi que ton premier message sur cette discutions .
Inscription en mai 22 je crois soit 3 mois âpres le debut de la guerre en ukraine.
Ce qui m 'ammene a une question: Serais tu par hasard une propagandiste ukrainienne appointée par zelensky......


Mais non bien sur, seul les russes ont des trolls......


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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 06 Nov 2025, 16:53 
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@suzy,

Nous sommes toutes des ukrainiennes lorsque l'Ukraine est injustement attaquée !
Poutine, DEHORS mon pied au c... !

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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 07 Nov 2025, 08:12 
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Je suis Ukrainienne par le cœur, comme toutes les filles du forum , sauf toi
Je suis Française par le sang , et fière de l'être car en 1794 nous avons apporté la Liberté au monde

Chant du départ / chant contre les tirans
Couplet 1
La victoire en chantant
Nous ouvre la barrière
La liberté guide nos pas

Et du Nord au Midi
La trompette guerrière
A sonné l'heure des combats
Tremblez ennemis de la France
Rois ivres de sang et d'orgueil

Le peuple souverain s'avance (le peuple souverain s'avance)
Tyrans descendez au cercueil


Couplet 7
Sur le fer devant Dieu, nous jurons à nos pères,
À nos épouses, à nos sœurs,
À nos représentants, à nos fils, à nos mères
D'anéantir les oppresseurs.
En tous lieux, dans la nuit profonde
Plongeant l'infâme royauté,
Les Français donneront au monde
Et la paix et la liberté.

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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 07 Nov 2025, 08:14 
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Couplet 7
Sur le fer devant Dieu, nous jurons à nos pères,
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D'anéantir les oppresseurs.
En tous lieux, dans la nuit profonde
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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 07 Nov 2025, 08:17 
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Meav a écrit:
@suzy,

Nous sommes toutes des ukrainiennes lorsque l'Ukraine est injustement attaquée !
Poutine, DEHORS mon pied au c... !


Merci Meav pour ton message

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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 08 Nov 2025, 18:02 
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NON A TOUTES LES GUERRES DU KAPITAL

Avant de crier au complot voir pour info la fiche WIKI du journal....https://en.wikipedia.org/wiki/Euromaidan_Press


https://euromaidanpress.com/2025/11/06/retreating-from-pokrovsk/




Guerre russo-ukrainienne 2022-2025

Des commandos ukrainiens se précipitent à Pokrovsk pour tenir le couloir d'évasion ouvert pour la garnison en fuite
Pokrovsk est sur le point de tomber. Une attaque récente du 425e régiment d’assaut n’a pas été un effort pour sauver la ville. Non, il a soutenu une retraite plus large.
parDavid Axe
06/11/2025
5 minutes de lecture
425e patrouilleurs du régiment d'assaut à l'entraînement en 2024.
425e patrouilleurs du régiment d'assaut à l'entraînement en 2024. 425e photo du régiment d'assaut.
Ukrainian commandos rush into Pokrovsk to hold escape corridor open for fleeing garrison

Une compagnie d'assaut ukrainienne a marché vers le sud dans le centre contesté de Pokrovsk
Mais ce n'était pas une contre-attaque
Les forces ukrainiennes d'élite se sont déployées à Pokrovsk pour aider à couvrir une retraite plus large de la ville
Pokrovsk et Myrnohrad voisin pourraient tomber à l'attaque des Russes n'importe quel jour

Lorsqu'une entreprise du 425e régiment d'assaut ukrainien a hissé un drapeau ukrainien sur le bâtiment du conseil municipal près du centre de Pokrovsk, ou juste avant mercredi, il se peut que les forces ukrainiennes contre-attaquent dans la ville en conflit.

Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité. Les survivants de la garnison ukrainienne de Pokrovsk tentent, en fait, d'échapper aux ruines de la ville minière autrefois prospère. Pour donner aux survivants de la 68e brigade Jaeger et de la 155e brigade mécanisée une chance de se battre pour s’échapper vers la nouvelle ligne ukrainienne au nord de Pokrovsk, plusieurs unités d’élite – mais très petites – se sont déployées dans la ville.

Ils comprennent cette compagnie du 425e régiment d'assaut. Ne confondez pas la montagne de l'entreprise dans le centre-ville pour une contre-offensive. C'est en fait l'effort de couverture pour une retraite générale tardive. Après une année de combats acharnés, la bataille pour Pokrovsk "touche à sa fin", a noté l'observateur Thorkill.
Pourquoi l'avantage numérique de la Russie compte à Pokrovsk

Le groupe de forces du Centre russe a subi des pertes choquantes en marchant sur Pokrovsk depuis les ruines d'Avdiivka, à 40 km au sud-est, à partir du printemps 2024. Le groupe russe a saigné pour chaque mètre qu’il a avancé, mais grâce à sa taille pure – ses 100.000 soldats ou plus sont plus nombreuses que les forces ukrainiennes locales cinq à un – il a avancé.

Principaux facteurs tactiques dans la chute de Pokrovsk:

5:1 Avantage numérique russe (100.000+ troupes contre 20.000 ukrainiens)
Avance d'une année depuis Avdiivka (40km au sud-est) à partir du printemps 2024; infiltration russe à travers des lacunes dans les défenses ukrainiennes
3km couloir d'évacuation toujours ouvert mais par drone; renforts Elite: 425e régiment d'assaut, 82e brigade d'assaut aérien, 3 unités SOF
Renouvelé les agressions mécanisées russes cet automne à la suite du stockage de véhicules

Traqueurs et contenus bloqués pour X

Vos paramètres Firefox on ce contenu de vous-sous-bassive sur des sites ou d’être utilisé pour les publicités.

À la nouvelle année, c'était à la périphérie de Pokrovsk. À cet été, l’infanterie russe avait commencé à infiltrer Pokrovsk en nombre croissant – en profitant de larges lacunes dans les défenses ukrainiennes pour fléchir dans la ville, à se détendre dans un sous-sol et à attendre le renforcement.

Une incursion russe au nord de Pokrovsk en août a attiré les réserves ukrainiennes loin de la ville. Des assauts mécanisés russes renouvelés cet automne – à la suite d’une longue pause dans les attaques de mech qui ont permis au Kremlin de stocker des véhicules – ont maintenu la pression au nord de Pokrovsk.
Comment les tactiques d'infiltration russes ont brisé les défenses ukrainiennes

"La géométrie de la bataille a longtemps été défavorable" pour l'Ukraine, a écrit Michael Kofman, analyste au Carnegie Endowment à Washington, citant "la détérioration des conditions, le manque de réserves et les faibles niveaux d'effectifs des unités déployées".
Offension russe de Pokrovsk

Cette géométrie s'est aggravée le mois dernier. "La situation autour de Pokrovsk s'est détériorée au fil du temps alors que les forces russes continuaient à s'infiltrer dans la partie sud de la ville", a noté Kofman. "Les positions ukrainiennes sont devenues de plus en plus minces. L'aggravation de la météo a permis aux troupes russes d'attirer plus d'hommes dans la ville ces dernières semaines.

Les équipes de drones russes ont suivi les infiltrés à Pokrovsk. Maintenant, les drones russes se déplacent à travers Pokrovsk et les quelques routes dans la ville et Myrnohrad voisin. Il y a encore un écart de 3 km entre les éléments russes les plus occidentaux et les plus à l'est au nord de Pokrovsk et Myrnohrad - une issue pour les troupes ukrainiennes dans les deux colonies.
Tendance maintenant

Mais cet écart est patrouillé par des drones explosifs. Et il risque de fermer complètement n'importe quel jour maintenant, surtout si le mauvais temps couvre une nouvelle poussée russe.
Opérateur russe de drones FPV.
Explorer plus loin
L’Ukraine frappe la base de drones d’élite de Rubicon, mais il est trop tard pour sauver Pokrovsk
Tenez la porte

Pour maintenir l'écart le plus longtemps possible, et permettre aux survivants de la 68e brigade Jaeger et de la 155e brigade mécanisée de se retirer vers le nord, le commandement ukrainien a déployé cette compagnie à partir du 425e régiment d'assaut ainsi qu'une compagnie de la 82e brigade d'assaut aérienne et trois unités d'opérations spéciales.

Ces troupes d'élite, peut-être seulement quelques centaines, sont trop peu nombreuses et trop légèrement équipées pour repousser les milliers de Russes qui serpentent dans Pokrovsk. Mais opérant à partir de positions défensives sur le bord nord de Pokrovsk, les troupes d'élite nouvellement déployées ont réussi à retenir les Russes pour l'instant.
Carte de Myrnohrad pokrovsk
Les forces ukrainiennes à Myrnohrad ont peu de temps pour se retirer

Les "sous-unités brisées" de la 68e brigade Jaeger et de la 155e brigade mécanisée ont saisi l'occasion de s'échapper en commençant dans la nuit du 27 octobre, selon Thorkill. Beaucoup de survivants "ont quitté la ville à pied". Des drones russes et des bombes aériennes ont pleuvi, tuant certains des évadés. Mais d'autres l'ont fait.

Il y a encore quelques troupes ukrainiennes dans le centre chaotique et les quartiers sud de Pokrovsk. "Piégé", Dans l'évaluation de Thorkill. Ce n'est probablement pas un hasard si le 425e régiment d'assaut est récemment apparu dans le centre-ville. Il y avait probablement des troupes ukrainiennes qui avaient besoin de sauvetage dans la région.
Que se passe-t-il après la chute de Pokrovsk

Alors que les troupes ukrainiennes cherchent des moyens de sortir de Pokrovsk et de Myrnohrad, les destins des deux colonies sont clairs. Les Russes vont capturer leurs ruines dans les jours ou les semaines à venir.

La ligne de front poreuse se déplacera ensuite à quelques kilomètres au nord dans les champs et les villages au nord de Pokrovsk. La bataille pour l'oblast de Donetsk va se poursuivre, les Russes ayant encore une fois échangé des dizaines de milliers de victimes contre une ville ukrainienne dont les défenseurs non nombreux se sont battus plus longtemps que ce qui devrait être possible.

Chronologie de la détérioration de Pokrovsk:

Printemps 2024: l'avance russe commence à partir d'Avdiivka
Nouvel An 2025: les Russes atteignent la périphérie de la ville
Été 2025: l'infiltration d'infanterie s'intensifie
Août 2025: l'incursion dans le Nord tire les réserves ukrainiennes
Automne 2025: les agressions mécanisées reprennent
27 octobre 2025: une retraite de masse commence sous le feu des drones


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 Sujet du message: Re: UKRAINE LIBRE 2024
Message non luPosté: 09 Nov 2025, 11:58 
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Nos pertes se chiffrent en milliers à Pokrovsk : les Russes protestent fortement contre leurs généraux

https://youtu.be/l0u-gTnZ3Ek
Le blogueur russe Maxim Kalachnikov a admis de manière inattendue que la tentative des troupes russes de s'emparer de Pokrovsk avait entraîné des pertes colossales, comparables à la sanglante bataille de Bakhmut. Sa déclaration réfute ainsi l'affirmation récente de Vladimir Poutine selon laquelle la ville ukrainienne était « encerclée ». « Qu'y a-t-il de si difficile dans la situation pour nous ? Le fait est que nous n'avons pas encore réussi à encercler Pokrovsk géographiquement. Nous sommes donc contraints de repousser l'ennemi, ce qui implique une guerre urbaine. Et les pertes y sont très élevées… Pour nous, elles sont comparables à celles de Bakhmut, à la bataille de Bakhmut ! Souvenez-vous, Evgueni Prigojine, de son vivant, citait ce chiffre : 20 000 morts rien que dans les rangs de Wagner, et probablement autant dans les unités du ministère de la Défense. Je tiens à rappeler que la Wehrmacht, lors de la prise de la Pologne en septembre 1939, a subi un peu plus de 20 000 pertes. Et ce n'est que Bakhmut ! », a déclaré Kalachnikov. Les informations qui circulent montrent que l'armée russe se trouve dans une situation dramatique aux alentours de Pokrovsk. Les soldats se plaignent d'être encerclés et d'avoir subi des milliers de pertes. De ce fait, une vive colère se manifeste contre les généraux qui mènent les opérations. Ce sentiment est également palpable parmi les patriotes russes. Comme les généraux n'ont pas encore totalement pris le contrôle de Pokrovsk, ils font eux aussi l'objet de vives critiques au sein de la société russe.
Même des sources fidèles au Kremlin reconnaissent l'ampleur colossale des pertes russes. L'aveu de Kalachnikov contredit la version officielle de Moscou, qui affirme que « l'opération se déroule comme prévu ». En réalité, les troupes russes subissent des pertes effroyables en tentant de percer les lignes ukrainiennes.

Plus tôt, Poutine avait affirmé que Pokrovsk était « encerclée ». Cependant, cette déclaration s'est rapidement avérée fausse face aux faits. Les troupes ukrainiennes continuent de tenir la ville, et même des blogueurs russes admettent qu'un encerclement complet est hors de question. Les experts militaires notent que la bataille de Pokrovsk reproduit le scénario de Bakhmut : des combats prolongés, des pertes considérables et des gains minimes pour les troupes russes. L'expert militaire et en communication ukrainien Sergueï Flesh a confirmé qu'une décision militaro-politique avait été prise pour maintenir le contrôle de l'agglomération de Pokrovsk-Myrnohrad aussi longtemps que possible. Il a déclaré que toutes les réserves disponibles seraient déployées à cette fin, car ce secteur du front revêt une importance stratégique. Flesh a souligné que le maintien de Pokrovsk et de Myrnohrad est d'une importance capitale d'un point de vue militaire. Au-delà de ces positions s'étend une vaste plaine qui pénètre profondément dans la région de Dnipropetrovsk. Si l'ennemi parvient à percer dans cette zone, il pourra utiliser les hauteurs autour de Pokrovsk pour des tirs de drones et d'artillerie à longue portée, ce qui constituera une menace sérieuse pour l'arrière des lignes ukrainiennes.
L'expert a souligné que de telles décisions ne sont pas prises sans justification impérieuse : l'état-major ukrainien évalue les capacités réelles de maintien de la ligne de défense. Flesh a ajouté que, malgré l'importance stratégique de la zone, aucune position ne vaut des vies humaines et que, si un sauvetage s'avère nécessaire, il doit être effectué sans délai.

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